Alors, je m'en excuse.
Je me rends bien compte que mon trop court message chiffonne. Ce que je veux dire c'est qu'on ne doit pas réduire le métier de chargé de production et de diffusion à celui de vendeur. Il s'agit bien d'un accompagnement de nouveaux chantiers créatifs, d'agitation de défis artistiques, de mise en circulation des équipes et des œuvres, de rencontres et de chemins parcourus avec des partenaires, de donner de la vie à des propositions spectaculaires, de créer des frictions avec des spectateurs, de défricher de nouveaux territoires, d'inventer de nouveaux rapports, de relais, d'énergie... mais peut être pas de reproduire les schémas des autres secteurs économiques et marchands. Quitte à inventer et à prendre des chemins de traverse... Désolé encore pour le chiffon. Très sincèrement, j'admire les personnes qui se saisissent de ces fonctions guidées par des convictions, un amour, une éthique, une quête... Et je vois bien que je suis débordant de préjugés sur les étudiants des écoles de commerces, il y en a sûrement beaucoup (ou au moins quelques uns) qui ont d'autres aspirations que de suivre les chemins tracés par des décennies de concurrence libre et non faussée. Je lève mon verre de jus de fruit multivitaminé et je tire mon chapeau dans une ample révérence à tout(E)s les chargé(E)s de production et de diffusion de la galaxie ! RHÛ ! Bouèb Le 27/03/2013 23:46, "> a écrit : " type="cite"> |
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