Ce que Gonçalves directeur du 104 écrit dans Télérama bon, il faudrait bien lui répondre quelque chose à ce Monsieur, il attaque frontalement. J’ai un petit problème , c’est qu’il a raison quelque part, on a tous voulu pour survivre se calquer sur le marché, des spectacles à 2, ou à 3 on met ça à 2500 € et on arrive à faire une trentaine de dates comme on dit. Il n’y a que les vieux qui continuent avec des gros machins qui en jettent ? Je me trompe ? Je n’arrive pas trop à deviner les ambitions qui se profilent à l’horizon. Franchement , je le dis franchement, mes émotions ou mes étonnements de l’année ne vont pas trop au théâtre de rue, mais je n’ai pas vu grand chose dans la rue à part : Cinérama d’opéra Pagai, jauge 80 personnes, mais une dizaine de comédiens, vu à Aurillac, j’ai trouvé ça essentiel. Le reste c’est en salle L’idiot ! Pire que de la rue. Un déluge. Imagine toi ce détail. Les costumières travaillent toute la nuit de minuit à cinq heures pour nettoyer les costumes. Et puis ça gueule, parce que Macaigne il dit que dans la société de Hollande, tu ne peux que gueuler, et puis c’est idéaliste en diable ça fait du bien. j’ai vu ça au théâtre de la ville, d’ailleurs il commence dans la rue. 8 comédiens , 10 techniciens In Vitro, un collectif, une impro d’une heure et demie, Julie Deliquet. Sur “on fait quoi aujourd’hui “ ? 13 comédiens Mon petit Gosselin, je dis mon petit, car il a commencé avec nous dans les brigades de Calais à 17 ans, ses particules élémentaires, 4 H qui te renversent. Je vais lui répondre quoi à Gonçalves ? Que pour faire un champion de tennis il faut 100 000 pratiquants, (il était tennisman professionnel) et qu’Aurillac c’est comme Avignon off, oui, il y a des échecs, A vrai dire, je ne sais pas trop quoi dire. Désarroi, à l’aide Crespin ! |
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