pardon "animations" n'est pas un gros mot. A part ça, oui, on peut déplorer fortement ces baisses budgétaires et ces changements de politiques et avoir les boules pour Dominique -c'est mon cas- on peut aussi participer au choeur des pleureuses cornaqué par le syndéac se lamentant de ces budgets qui s'effilochent... on peut redemander de l'Etat, plus d'Etat, pour sauver nos missions, nos métiers, nos talents parce que les bouseux on voit bien qu'ils zy connaissent rien mais toutes ces décisions ressortent de positions locales, de choix locaux, d'élections locales et c'est surtout là que ça se joue même si on constate que, pour certains élus, diminuer ses budgets culturels c'est une sorte de doigt d'honneur au gouvernement pour avoir baissé ses dotations territoriales on mesure avec effarement combien nous sommes peu soutenus par les autres citoyens combien ils ont intégré cette notion que la culture ça coute cher et ça ne concerne que ceux qui se la pètent même pour la rue! un comble! On va passer de sales moments on le sait tous on le sent rester impuissants ? Non. Il faut nous réinvestir politiquement au local, monter des listes, voter, eh ouais! et surtout nous repenser, repenser nos fonctions et notre utilité, repenser la culture faire chauffer la machine à gamberges et à tchatches oui gueuler! oui essayer de sauver les meubles! et oui aussi, s'adapter mais pas sans inventions ni remises en question d'où l'intérêt de prises de position comme celle de Kasimir Bisou et d'autres, et de nous, pourquoi pas ? Hauts les coeurs! Pierre Le 17/12/2014 11:29, Carnage
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