D'accord avec Alexandre.
Les festivals, les cnars, n'ont pas être pérennisés par principe. Il n'y a pas d'institutions qui doivent exister en soi. Ces sont des territoires, des histoires, des hommes et des femmes. Ça se rencontre, ça papote, ça fomente, ça élabore. Ce sont des désirs qui convergent.
Des villes y en a plein. Des artistes y en a plein. Continuons comme on a toujours fait : Créons des situations qui vaillent la peine d'être vécues.
Bernard