Les polémiques sur la féminisation de la langue française ont commencé en 1984 avec la création par Yvette Roudy, alors ministre des Droits de la femme, d’une commission de terminologie relative au vocabulaire concernant les activités des femmes. Elles ont été ravivées en 1997, après la demande des femmes du gouvernement Jospin d’être nommées « Madame la ministre ». Les académiciens hostiles, tel Maurice Druon, se sont couchés avec le rapport du 28 février 1979 à la demande de l’Etat qui admet qu’il n’existe aucun obstacle à la féminisation des noms de métier et de fonction. A lire les articles > « Le français, une langue masculinisée » et « L’égalité des sexes passe aussi par la langue » par Eliane Viennot historienne de la littérature et autrice dans le hors-série langue française de la revue elephant, mars 2023. Je n’ai pas connaissance des déjections sur l’égalité et l’inclusivité par « l’ultra-gauche ». A suivre, François.e De :
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> De la part de Sophia Antoine (
via rue Mailing List) Fascinant : Voir l’ultra-gauche s’emparer du discours conservateur des académiciens et de l’extrême droite pour aller chier sur l’égalité et l’inclusivité. (ou ses tentatives) Décidément, la vie est toujours pleine de surprises. Merci pour la pépite ❤️🔥. Le mar. 23 mai 2023 à 13:20, François Mary <
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> a écrit :
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