D’accord avec Marc pour le TNT à Bordeaux, un projet artistique, social, humain fort qui subit d’année en année une baisse de subvention de l’Etat. En plus des actions citées ci-dessous, c’est aussi là qu’ont eu lieu les échanges post 21 avril 2002. Os court, François De : marc Prevost [mailto:
] La liste rue c'est mieux que la rue, n'importe qui peut venir y planter ses panneaux... tu ne risques pas d'amendes... peut-être une volée de bois vert de temps en temps ! tu y entendras de grosses bêtises, mais aussi la parole de personnes qui veillent a ce qu'ils y font ! tu y verras de gros egos et des sentencieux (comme moi maintenant par exemple !) Cet echange, c'est peut être l'occasion de comprendre qu'il y a des lieux culturels institutionnels ou les directeurs sont nommés et qu'ils y touchent des subventions... que ceux qui en connaissent le fonctionnement le décrivent, et nous fassent passer de l'autre coté du miroir. et des lieux qui, [avant la rationalisation des politiques de depenses gabegiques (ce que l'on voudrait nous faire accepter comme tel) de l'etat], ont, [au bout des 1O voire 15 ans de projet mené avec des artistes locaux et sur un territoire particulier (la frontière bègles bordeaux)] en les arrachant pied à pied obtenu un budget de fonctionnement au service d'un projet... cette manière d'aider ces initiatives locales venant d'en bas, le ministère n'en veut plus ! c'est cela que chevance nous raconte. alors ceux qui lui tapent dessus, tirent sur le conducteur d'une ambulance qui les transporte au bloc ! après ils diront je savais pas, on m'a pas dit ! le projet du TNT est en ligne sur leur site... le TNT etait à la source d'un projet de GEIQ (groupement d'employeur du spectacle vivant), ils y ont mis de l'energie et des moyens, la sauce n'a pas pris dommage, l'idee etait bonne... le TNT faisait partie du reseaux autres part (je crois) pour mutualiser leurs engagements et leurs idees... Le TNT c'etait l'engagement sur l'emploi : le maintient de postes de permanents là ou ils doivent être. le TNT c'etait le lieu d'ou partaient les rassemblements de mobilisation des artistes de bordeaux : les veilleurs, les ag de soutien des artistes aux manifestations nationales (retraites etc...), le point de depart de l'appel video des artistes bordelais sur l'etat de la culture dans notre pays, le lieu qui a accueilli la FAI-AR lorsqu'elle est venue se presenter aux artistes locaux... (pour ce que j'y ai vu moi perso en direct !!!) le TNT c'etait un accueil-prêt de plateau pour de jeunes artistes, des etudiants, des jeunes compagnies (mais faut pas le dire parce que y'avait surement pas le droit !)... le TNT c'etait le lieu de portes ouvertes ou les etudiants en arts du spectacle a bordeaux pouvaient venir rencontrer pendant une journée des artistes, un scenographe, un technicien decors, un regisseur et partager cette journée ensemble... le TNT est mort, vive le TNT... chevance ne plante rien, son ecrit n'est pas une tirade avant le tombé de rideau... Il n'utilise sa colère et les medias que pour aider le TNT a se regenerer, a être porteur d'autre chose... et il nous incite a reprendre le flambeau de nos engagements citoyens, d'acteur culturel et personnel... chapeau bas je lui souhaite de prendre un peu de hauteur et de pouvoir considerer sa contribution justement. et je l'attends au detour d'une rue (pour d'autres aventures collectives a bordeaux) marc prevost agitateur à pole emploi spectacle (bordeaux)
Le 1 juin 2011 13:54, jf le scour <
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> a écrit : tu as raison cher Coordinateur / Chargé de développement il faut écrire comme ça oui je suis d'accord avec toi il ne faut pas se laisser faire il faut leur dire qu'ils exagèrent qu'ils en font trop bref tu présentes bientôt ? aller* quelle époque jf le scour *je sais, je sais, je revendique ............................................... jf le scour 0033 6 63 72 33 66 Le 1 juin 2011 à 12:43, ckoicecirk a écrit : C'était bien cette liste. Dans l'historique, on y sentait l'_expression_ et sa liberté sur des sujets non pas forcément rattachés à notre domaine propre mais qui permettait aux artistes de la rue de lâcher leur "philosophie" sans complexe (ah les artistes de rue) sur l'actualité.
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