Bonjour,

AVRIL EN SEPTEMBRE et LA FRANCAISE DE COMPTAGES sont heureux de vous inviter aux représentations de : 

UNE CERISE NOIRE

de Benoît Afnaïm, réalisée par La Française de Comptages, sur une musique de Michel Risse

Création 2010 – Festival d’Aurillac programmation officielle
Bande-annonce, extraits et bonus : http://www.dailymotion.com/playlist/x1keiq_lacamera7_une-cerise-noire#videoId=xddw0u

* Vendredi 8 et samedi 9 juillet 2011 à RENNES

22h30 – Esplanade du Général de Gaulle

dans le cadre du festival LES TOMBEES DE LA NUIT

Infos festival : http://www.lestombeesdelanuit.com/

* Vendredi 9 et samedi 10 septembre 2011 à ANGERS

21h15 et 23h45 (2 représentations par soir) – Place Rochefoucauld

dans le cadre du festival LES ACCROCHE-COEURS

Infos festival : http://www.angers.fr/vie-pratique/culture/les-evenements-culturels/accroche-coeurs-2011

Assistez au tournage d’un polar des années 50 et à sa diffusion en simultanée sur grand écran !
Découvrez l’envers du décor et l’effervescence des coulisses sur un camion transformé en studio de cinéma à ciel ouvert, avec 14 décors et 21 comédiens-techniciens !
A la fois spectacle, film, plateau de cinéma et performance technique, Une Cerise Noire est un hommage au cinéma hollywoodien des années 50 à travers un polar inspiré des grands classiques du genre.

L’HUMANITE « Le spectacle est partout, sur le plateau, dans le film, dans la création des décors, dans le jeu frénétique et la coordination périlleuse, mais sans faille de la part des acteurs. Et le spectateur se plonge avec délice dans cette mise en abîme du regard. »

L’UNION « Le spectacle est phénoménal. Un monstre de précision, d'humour, d'imagination. (…), un monstre de complexité qui pourtant se déroule avec une fluidité hypnotisante. » 

STRADDA « Ce fut LE grand succès de bouche-à-oreille du festival d’Aurillac. (…) Montrer le champs et le hors-champs, un objet cinématographique et son making-of, (…), La Française de Comptages (née autour d’un noyau de fervents constructeurs) a le bon goût de s’en saisir avec une énergique jubilation et une rigueur chorégraphique millimétrée qui fait le plus grand bien à la rue festivalière, en débordant sans affèterie sur les façades et balcons. »