Liste arts de la rue

Archives de la liste Aide


[rue] [Fwd: RE: Re: Re: [listenationale] Re: Congé spectacle action G.I.F.L.E...]


Chronologique Discussions 
  • From: Yvon Thomas Le Guillerm < >
  • To: Liste rue < >
  • Subject: [rue] [Fwd: RE: Re: Re: [listenationale] Re: Congé spectacle action G.I.F.L.E...]
  • Date: Fri, 06 Jan 2012 19:14:20 +0100



-------- Original Message --------
Subject: RE: [rue] Re: Re: [listenationale] Re: Congé spectacle action
G.I.F.L.E...
Date: Fri, 6 Jan 2012 18:56:26 +0100
From: Ronald Brown Lee
< >
To: Liste rue Yvon
< >
References:
< >,< >



N'y aurait-il pas possibilité de porter le problème publiquement au
biennales du spectacle vivant à Nantes les 18 et 19 janvier ?
Il y aura des politiques, des programmateurs ETC...
Tracts, prises de paroles...
Est-ce que la fédé, par exemple, pourrait porter cela?

Corps dial

Fred. R
Baladin, peintre de chansons,
Chanteur de rue et des bistrots
Tel: 06 79 25 67 00

Retrouvez-moi sur:
http://fanclub-fredr.over-blog.com/

http://www.myspace.com/fred.r







> Date: Fri, 6 Jan 2012 17:09:34 +0100
> From:

> To:

> CC:
;

;
;

;

> Subject: [rue] Re: Re: [listenationale] Re: Congé spectacle action
G.I.F.L.E...
>
> Un "bougeage général" serait plus que nécessaire quant aux CS, mais
> aussi quant aux droits d'auteur (SACEM, SACD), quant à la SPEDIDAM pour,
> enfin ?, contrôler la manière dont sont gérées les tunes ! ! !
> Ne parlons pas des Assedic où tout est opaque par ailleurs.
>
> Celà peut paraître idiot de faire l'amalgame entre toutes ces "caisses"
> , mais le point commun, ce sont les cotisations versées à des degrés
> divers et selon différentes méthodes de recouvrement par les salarié-e-s
> et les employeurs, avec, en face des rémunérations pour le moins
> hasardeuses.
>
> Et, je ne vous apprend rien, à la tête de ces organismes siègent des
> dirigeant-e-s et leurs subalternes proches très bien payé-e-s,
> injoignables dès qu'il y a un problème.
>
> Pire, ils/elles sont conforté-e-s dans leurs pratiques par des syndicats
> de salarié-e-s et de patron-ne-s issus du paritarisme, et hautement
> contestables quant à leur représentativité dans nos métiers.
>
> Alors, je crois qu'une "pétrition" ne suffira pas et qu'une des solution
> réside dans la remise à plat de tout celà avec tou-te-s les
concerné-e-s !
>
> Yvon
>
> Frédéric Michelet wrote:
> > Vu les coûts prohibitifs de cet organisme des Congés spectacles, et
le fait
> > qu'il ait été retoqué par la cour des comptes, une action collective me
> > semble la plus à même de faire bouger les choses
> > Avec la fédé ?
> > L'Ufisc ?
> > Un groupement ?
> > Une pétition ?
> > Faut bouger
> > Amitiés
> > FRED
> >
> >
> > Le 06/01/12 14:59, « Yvon Thomas Le Guillerm »
< >
a
> > écrit :
> >
> >> Celà est en passe de marcher, la communication a fonctionné avec
les CS;
> >> J'ai eu la secrétaire (une secrétaire ?) pendant 20 mn au
téléphone. Il
> >> est impossible de parler à M. Régis BRAUT, responsable des CS, par
> >> téléphone. Il faut envoyer un courrier ou un fax (décidément, ces
> >> dinosaures ne sont pas passés à l'ère du numérique) et lui
expliquer le
> >> pourquoi du comment.
> >> J'ai, peut-être réussi à enfoncer un coin sur l'opacité en parlant de
> >> mon cas perso (plus intermittent, mais grugé lors de la dernière
> >> déclaration), je vais creuser et leur remettre dans la vue mes
derniers
> >> certificats d'emploi et leur prouver qu'ils ont "oublié" de me
payer mes
> >> congés.
> >> Sur le plan politique, la secrétaire, forcément et à juste titre,
s'est
> >> retranchée derrière sa fonction quand j'ai commencé à parler de jetons
> >> de présence, de cotisations iniques, de celles et ceux qui ne touchent
> >> jamais les congés, de train de vie, de bureaux luxueux, ...
> >> Donc, il va falloir que nous soyons nombreu-x-ses à écrire au 7 rue du
> >> Helder - 75440 PARIS CEDEX 9 pour espérer faire pencher la balance.
> >>
> >> Yvon
> >>
> >> Goobi wrote:
> >>> Concernant les congés Spectacle La G.I.F.L.E... (Groupe Intermittent
> >>> Frondeur Libre Etc...) Propose librement aux intermittents qui le
> >>> souhaites une _"Action Individuelle de masse"_
> >>>
> >>> appeler les congés spectacles 01 44 83 45 00
> >>> appuyer sur * pour accéder au menu
> >>> appuyer sur 2 pour avoir une "hôtesse de ligne"
> >>> demander à parler à un responsable que l'on ne vous passera pas
> >>> demander des explications sur le sujet et dire ce que l'on à à dire
> >>>
> >>> le but étant de _mettre la pression_ pendant que s'organise les
ripostes
> >>> proposées par Pascal, Fédé et Cie.
> >>>
> >>> la pauvre hôtesse de ligne me direz vous et bien vous n'êtes pas
obligé
> >>> de l'insulter, vous pouvez êtres poliment insistant et lui expliquer
> >>> qu'en ne vous passant pas un responsable elle accepte de recevoir vos
> >>> doléances par téléphone. Si les appels sont nombreux le but sera
> >>> atteint. Et _si cette action ne vous convient vraiment pas, vous ne
> >>> Giflez pas._
> >>>
> >>> _Ce qu'est La G.I.F.L.E... _ce sont des actions simples et
individuelles
> >>> proposées par des intermittents, vous, moi, eux... sur des sujet
Divers.
> >>> _Ce qui fait une bonne G.I.F.L.E..._ le nombre de gens qui
trouvent que
> >>> l'idée est bonne et qui _décident librement de Gifler ou pas._
> >>>
> >>> Je me mêle de ce que je regarde...
> >>>
> >>> Goobi
> >>>
> >>>
> >>> *Dénoncez vos voisins sur : **http://www.goobi.fr *
> >>>
------------------------------------------------------------------------
> >>> *De :* Pascal
< >
> >>> *À :* Liste Liste rue
< >;
Fédération arts
Fédération
> >>> arts de la rue
< >
> >>> *Envoyé le :* Vendredi 6 Janvier 2012 10h19
> >>> *Objet :* [rue] Revélations CS
> >>>
> >>> A lire jusqu'au bout. Vous payez 140 000 euros annuel le salaire
de la
> >>> directrice de la caisse.
> >>>
> >>> Un article de 2008 suite au rendu de la cour des comptes
> >>>
> >>> L'incroyable dérive de la Caisse des intermittents du spectacle
> >>>
> >>> Gestion ubuesque, arnaque aux charges sociales, corruption de
> >>> syndicalistes... Cette noble institution patronale a accumulé les
dérapages.
> >>> Enquête.
> >>>
> >>> L'association patronale chargée de verser les congés payés aux
intermittents
> >>> du spectacle paierait-elle encore les morts ? Sa liste actuelle des
> >>> bénéficiaires est en tout cas assez troublante. On y trouve André
Raimbourg,
> >>> dit Bourvil, décédé en 1970, Joe Dassin, disparu en 1980,
l'inoubliable
> >>> Simone Signoret, qui nous a quittés il y a vingt ans, et enfin Léonie
> >>> Bathiat, plus connue sous le nom d'Arletty, passée à trépas en
1992. Manque
> >>> juste Sarah Bernhardt... Certes, les limiers de la Cour des
comptes, qui ont
> >>> découvert ces bizarreries, n'ont pas réussi à prouver que ces
artistes (ou
> >>> leurs ayants droit) avaient touché des congés payés après leur
décès. Mais
> >>> ils ne peuvent pas non plus nous assurer du contraire.
> >>>
> >>> Pas de doute, il s'en passe de drôles derrière la façade cossue de
> >>> l'ancienne maison de tolérance parisienne, qui abrite cette
curieuse Caisse
> >>> des congés spectacles. Gestion aléatoire, arnaque aux
cotisations, frais de
> >>> fonctionnement élyséens, corruption de syndicalistes... C'est
bien simple,
> >>> le rapport que les magistrats de la Cour des comptes ont transmis
à la
> >>> justice - et que Capital a pu se procurer - ressemble à un
scénario noir.
> >>> Histoire de corser l'affaire, une escouade de policiers de la brigade
> >>> financière a débarqué au petit matin en août dernier dans les
locaux de
> >>> l'organisme, et elle en est repartie les bras chargés de documents
> >>> compromettants. Atmosphère...
> >>>
> >>> Mais reprenons le film au commencement. A priori, cette institution
> >>> patronale ne prête guère à l'entourloupe : elle se contente de
collecter
> >>> auprès des multiples employeurs du spectacle les sommes
correspondant aux
> >>> congés payés de leurs intermittents, et de les reverser à ces
derniers après
> >>> en avoir fait le décompte. Hélas ! Voilà trente ans que ses
responsables
> >>> «oublient» de régler au passage une bonne partie des cotisations
sociales
> >>> assises sur ces rémunérations. Au mépris de la réglementation,
ces têtes en
> >>> l'air appliquent en effet aux 15 000 techniciens de l'audiovisuel un
> >>> abattement réservé aux travailleurs du cinéma. Cette petite manip
est certes
> >>> très rentable entre 1994 et 2001, elle leur a permis de distraire 17
> >>> millions d'euros des caisses de la Sécu, de l'Unédic et des
organismes de
> >>> retraite. Mais elle prive les 15 000 intermittents concernés
d'une partie de
> >>> leurs droits à la retraite complémentaire, ce qui est quand même
un peu
> >>> gênant.
> >>>
> >>> Un chèque de 70 000 euros pour "acheter" le silence d'un syndicat
> >>>
> >>> En bonne logique, le SNTPCT, le syndicat qui défend les intérêts
de ces
> >>> malheureux, aurait dû piquer une colère noire en découvrant le
tour de
> >>> passe-passe, courant 2001. Il a pourtant préféré traiter discrètement
> >>> l'affaire avec les responsables de l'organisme. Dans leur
rapport, les
> >>> magistrats financiers décrivent avec minutie les négociations
secrètes
> >>> menées par ces curieux partenaires. Après avoir menacé de porter
l'affaire
> >>> devant la justice, le Syndicat a exigé «oralement » un versement
de 225 000
> >>> euros pour écraser le coup. Trop cher, ont répondu les patrons. Une
> >>> interminable discussion de marchands de tapis plus tard, le
SNTPCT finit par
> >>> accepter un chèque de «dédommagement » de 70 000 euros, encaissé
le 30 juin
> >>> 2004.
> >>> A quoi cet argent a-t-il servi ? Pour tenter de le découvrir, les
policiers
> >>> de la brigade financière ont placé en garde à vue Stéphane
Pozderec, le
> >>> délégué général du Syndicat, en novembre dernier. Un choc pour
cette figure
> >>> du secteur, qui avait reçu en 2005 les insignes de l'ordre
national du
> >>> Mérite des propres mains de Renaud Donnedieu de Vabres. L'ancien
ministre de
> >>> la Culture avait alors rendu hommage à son combat «pour défendre les
> >>> techniciens du cinéma et de la télévision»...
> >>>
> >>> La Caisse a floué les chaînes et les producteurs de télé
> >>>
> >>> Allez, n'accablons pas ce représentant des travailleurs ! Les
dirigeants
> >>> patronaux de la Caisse vont, eux aussi, devoir s'expliquer devant la
> >>> justice. Non seulement ils ont lésé les intermittents, grugé la
Sécu et
> >>> corrompu un syndicat, mais ils ont spolié de nombreux employeurs
du secteur.
> >>> Il faut en effet savoir que, depuis 1968, l'Etat leur donne le
droit de
> >>> lever une cotisation auprès des producteurs de cinéma, afin
d'améliorer la
> >>> sécurité sur les tournages. Histoire d'arrondir un peu leurs
recettes, ces
> >>> audacieux n'ont pas hésité à étendre cette taxe aux 4 600
entreprises de
> >>> l'audiovisuel, en toute illégalité. Cela leur a permis de
grappiller 3
> >>> millions d'euros supplémentaires en cinq ans, un joli pécule que
> >>> l'Association des producteurs de cinéma et le Syndicat des
producteurs
> >>> indépendants se sont partagé dans la plus grande discrétion (60%
pour le
> >>> premier, 40% pour le second). Du cousu main.
> >>>
> >>> Très pointilleuse en matière de prélèvements indus, la Caisse des
congés
> >>> spectacles se montre en revanche assez désinvolte lorsqu'il
s'agit de lâcher
> >>> les sous. Selon la Cour des comptes, elle met, dans le meilleur
des cas,
> >>> sept mois pour régler leur dû aux intermittents. Quand elle
n'omet pas tout
> >>> simplement de le faire. A en croire les magistrats, environ 10%
des congés
> >>> payés ne sont en effet jamais versés, ce qui représente 19
millions d'euros
> >>> d'impayés par an. Il faut dire que la procédure, très
bureaucratique, oblige
> >>> les employeurs à envoyer pour chaque contrat un «chèque rose» -
dans le
> >>> jargon des «Congés spectacles» - et les intermittents à adresser
un «chèque
> >>> bleu». Inutile de dire que cette paperasse est souvent égarée.
Ajoutons à
> >>> cela que des milliers d'artistes et de techniciens, mal informés,
oublient
> >>> de faire valoir leurs droits... et que la Caisse ne bouge pas le
petit doigt
> >>> pour les retrouver.
> >>>
> >>> Ces piètres résultats n'empêchent pas la noble institution de
mener grand
> >>> train : chaque année, elle engloutit près de 10 millions d'euros
en «charges
> >>> de structure», une somme plutôt importante pour un bidule de
cette ampleur.
> >>> Il est vrai que sa directrice générale, Chantal
Gougault-Laslandes, en poste
> >>> depuis vingt ans (elle n'a pas souhaité répondre à Capital), aime
prendre
> >>> ses aises. Elle se ferait verser un salaire de 140 000 euros
annuel, roule
> >>> en Citroën C4 de fonction et fréquente volontiers les restaurants
huppés, en
> >>> particulier Drouant et La Fontaine Gaillon, à Paris. Ces petits
pépins ne
> >>> vont quand même pas lui couper l'appétit.
> >>>
> >>> Thierry Fabre
> >>>
> >>>
> >>>
> >>>
> >>> Pour acceder aux archives, a l'aide, a la conversion de mail, a
la page
> >>> de desinscription : http://www.cliclarue.info/#tabs-8
> >>> Et pour tout probleme, vous pouvez raler aupres de

> >>>
<mailto: >
> >>>
> >>>
> >>>
> >>>
> >> ---------------------------------------------------------------------
> >> Desinscription: envoyez un message a:
> >>

> >> Pour obtenir de l'aide, ecrivez a:
> >>

> >
> >
begin:vcard
fn:Yvon THOMAS LE GUILLERM
n:THOMAS LE GUILLERM;Yvon
adr;dom:;;8 quai Maurice Faure;CREST;;26400
email;internet:
 
tel;home:04.75.25.71.89
tel;cell:06.87.36.96.46
url:http://lachevredegardedelavallee.hautetfort.com/
version:2.1
end:vcard



  • [rue] [Fwd: RE: Re: Re: [listenationale] Re: Congé spectacle action G.I.F.L.E...], Yvon Thomas Le Guillerm, 06/01/2012

Archives gérées par MHonArc 2.6.19+.

Top of page