Salut Julien, La formulation "il va réduire de 20% le coût horaire des prestations de l'artiste" est étrange. Parle-t-on bien d'un contrat de travail et d'un salaire? L'employeur institutionnel est-il bien en position de produire l'artiste? Je suppose que c'est le cas, mais il n'est pas facile de répondre précisément sur une question qui reste assez imprécise (ce que je comprends vu les circonstances). Dès lors qu'une structure est assujettie à une convention collective, elle doit bien entendu en respecter la grille. Malheureusement, si ce n'est pas le cas le recours est de poursuivre l'employeur auprès du tribunal des Prud'hommes et s'il est sûr de gagner, le salarié est certain d'y laisser un job qui revient régulièrement! Sans aller jusqu'au procès, il est peut-être possible d'agir. Mais il faudra se faire aider. Se plaindre au SYNDEAC ne sert à rien car c'est un syndicat d'employeur. La CCNEAC est construite pour défendre les droits des salariés permanents dans des structures où il est possible de mettre en place une représentation syndicale, c'est scandaleux mais c'est comme cela! Malgré tout, il est possible de s'adresser à un syndicat de salarié. Si tu as besoin envoie-moi un message perso, je te donnerai des coordonnées (sans prosélytisme - promis, juré). La récurrence des contrats n'apporte rien: on est sur du cachet d'artistes, chaque fin de contrat clôt la relation salariale. Donc aucune reconduction de salaire ni de limite d'une baisse (qui serait d'ailleurs illégale, la baisse d'un salaire est rigoureusement encadrée dans le code du travail). @+ Thierry Le 09/06/12 13:11, Julien Travaillé a écrit : " type="cite"> |
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