ahhh,

je m'attendais a un retours de ce style, le forme, pas besoins de parler du fond quand on peut s'arrêter a la forme. c'est très franco-français cet attachement à l'orthographe, ça différencie les intelligents des rustre et des pauvres culturelles. les citations, c'est toujours un choix de citer de veille chose, la culture française ce fait vieille et elle est bien dedans. j'ai testé un truc et tout le monde tombe dedans.

malintentionné, je suis pas sur, si on peu plus dire ce qu'on pense. j'ai plus envie envie de parler d'un système, qui me donne plus une impressions de quelque chose qui tourne en rond, et c'est ça qui est embêtant, est ce que les bonnes questions sont posé, est ce qu'on est pas entrain de reproduire un système qui n'est pas efficace, celui des conservatoires.

autre chose plus grave dans les réponses, c'est le cloissonement. partout, a la FD, entre compagnie, on entend le discourt du "décloisonnent de la culture", dans les principes mêmes de la ruepublique, et a coté de ça j'entend des "c'est pas tres rue", "monsieur vient pas de la rue", bla bla bla...

on prône quelque chose mais on est incapable de décloisonner entre les différents vecteur de créations, et ça c'est naze, juste naze.

alors c'est vrais, nous ne sommes pas une cie de rue, nous sommes indépendant, ni de salle, ne de rue, avec des auteurs, sans auteurs, multimédia, tradosch, et c'est vrais j'ai envoyer un message sur la liste.

j'ai presque plus de batteries, je recharge demain, j'espère qu'on aura l'occasion de continué cette discussion a moins que vous voulez vous contenter de corriger mes mails et me citer des auteurs mort, ou même jouer l'incompréhension.

bonne journée, ou soirée

pascal

Le 4 août 2012 à 19:42, stef filok a écrit :

à en juger la pile de fautes d'orthographe d'ecknobul je me dis que c'est quand même bien qu'il y aie des écoles dont la dernière classe ne s'arrête pas au CM1, Molière doit se retourner dans sa tombe  et quelqu'un de malintentionné pourrait en profiter,... 

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Date: Sat, 4 Aug 2012 18:32:44 +0200
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Subject: Re: [rue] La FAIIR, j’adooooore

Mazette mais quelle belle colère !
j'adore moi aussi, j'ai beaucoup souri, et presque ri. Très bon.
J'ai pratiqué la faiar et vu l'image que tu donnes ça doit être ça, beh, si je suis le meilleur je sais pas c'est de quoi... des arts de la rue ?? ah ah , L'art de rut encore peut être je me défends pas mal, catégorie hétéro, mais bon de là à me dire que je suis le meilleur parce que j'ai fait la faiar.... y'a de la marge.
J'ai pas saisi l'objet de ta colère. C'est après quoi que tu en as ? contre les prétentions individuelles ? contre les égo d'artistes ? contre la société qui rêve d'une élite ? contre les arts de la rue qui cherchent leur lettres de noblesse ? contre le théâtre en salle qui se donne les moyens de son exigence ?

Je sais pas. pas compris. mais bcp presque ri.

Moi je trouve que c'est bien d'avoir des exigences élevées. C'est sûr des fois c'est plus difficile d'accès, mais bon on va pas lire Martine et Oui-oui toute sa vie, parce que Nietzsche et benjamin ils emploient des mots qu'on comprend pas tout de suite. On va pas se priver de Proust parce que ses phrases sont trop bien construites pour passer sur TF1 ni cracher sur Tarkovski parce que maintenant c'est 43 plans à la minutes le rythme qui va bien.

Non ?

Enfin bon un artiste ça travaille la matière humaine. J'aime bien les philosophes et les poètes parce qu'ils me nourrissent. Et ça fait élitiste de citer même Diogène.
Mais en fait moi, ressortissant faiar, si je fais ce job, c'est pas par rêve de gloire mais parce que c'est à cet endroit que je me sens le plus utile, parce que j'ai des rêves à la con d'une société, d'un ensemble et patati, et quand je suis intermittent je suis bien conscient des devoirs qu'impliquent le privilège de jouir du meilleur régime d'assurance chômage du monde entier. et quand je le suis pas ça change pas grand chose sauf que je mange moins gras.

Je sais pas. en fait j'ai pas compris ta colère.

bises

laurent

Le 4 août 2012 09:45, rue ecknobul < " target="_blank"> > a écrit :

Ou plutôt les étudiants de la FAI IR, c’est vrais que dès qu’il y a un mail d’eux sur la liste, c’est comme un rayon de soleil, ça sent la prétention et le rebelle LIDL et moi ça me fait marrer. Y rien de mieux pour éclairer ma journée. Ils ne comprennent pas pourquoi ils ne sont pas pris sur tous les festivals, pourquoi on ne respect pas leur superbe et ultra-inovante démarche artistique alors que pendant tous leurs cursus ont leurs à faits croire qu’ils étaient les meilleurs.

Je ne sais plus quel vieux ponte à écrit sur la liste que la FAIIR « à été créé pour créer de l’élite à partir de ce que nous sommes ». j’ai rien osé dire quand j’ai lu cette magnifique phrase qui résume si bien la mauvaise direction dans là qu’elle c’est partis. Mais je peux vous rassurer, vous y êtes arrivé, vous avez même fait mieux, là où nos petits vieux se pose encore quelquefois des questions d’ordre social ou administratif comme la non cohérence actuel des congés spectacles, nos chères futures élite des arts de la rue se concentre sur leurs nombrils et leur ego, et avec un engouement et une ferveur digne des plus grands conservatoires de théâtres. Je ne sais pas si vous avez déjà eu l’occasion de travaillez avec des sortants de conservatoires ou de grande école de théâtre, pour n’autre part on a essayé et l’on à arrêter très vite. Il vaut mieux attendre qu’il ait vécu une période de disette artistique de 3 ou 4 ans pour pouvoir avoir quelqu’un de normal en face.

Donc la FAIIR fonctionne, plus prétentieux que nos quinquagénaires révolutionnaire  et avec des questions de fonds vraiment importante du type « pourquoi on ne me programme pas, pourtant c’est trop bien ce que je fait ». ils arrivent et ils sont nombreux et déterminés,  ce qui est normal d’être déterminer après c’être fait draguer dans toute l’Europe pendant plus d’un ans par des responsables grincent des articulations, forcement on pense qu’on est les meilleurs, et comme le dit Morpheus dans le premier Martix « on est pas le meilleurs parce que qu’on le crois mais parce qu’on le sait », et bien c’est pas vrais, ça suffit pas.

Et pour finir sur cette magnifique phrase sur l’objectif de la FAIIR, de créer de l’élite, n’oublier pas qu’à force de coucher entre cousin, on fait des handicapés, suffit de voir ce qui se passe dans la création théâtrale, en salle, française.

 

Voilà, j’ai hésité, je l’ai fait, en même temps, plein de gens passe leurs temps à écrire des truc qui serve à rien sur cette liste, pourquoi pas moi.

 

Bonne journée

pascal

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Pascal Lazarus
directeur artistique
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Cie Exto-Colossal (Ex cie Ecknobul)
8 rue de la laine 68000 Colmar
Tél. 0033 (6)22 90 62 61
www.exto-colossal.eu

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