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[rue] re: Nous n'irons plus à Aurillac, mais DEHORS! du 22 au 26 Aout Bourg Lès Valences
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- Subject: [rue] re: Nous n'irons plus à Aurillac, mais DEHORS! du 22 au 26 Aout Bourg Lès Valences
- Date: Sat, 11 Aug 2012 15:56:56 +0100 (BST)
- Domainkey-signature: a=rsa-sha1; q=dns; c=nofws; s=s1024; d=yahoo.fr; h=X-YMail-OSG:Received:X-Mailer:References:Message-ID:Date:From:Reply-To:Subject:To:In-Reply-To:MIME-Version:Content-Type; b=grkWZ7bMqiDc69d9yww3vFCFg4hiezX9Knmp9UEm4uP91sBy21ieVABEWhaJslOKeUnS05PNIfhuurcyptBbMo+2husOyNQykUyPafbEI72Jd746cJXHrolfHMgHPH9CL0AMdMqdXogZmSbhSuxrvBaBbgTGtrtOZcl1fA2pP2s=;
Salut !
tout d'abord merci Thierry pour tes infos toujours précises et avisées.
Je suis Christophe Vignal, de Portez-vous bien Cie !, et à l'origine du projet Dehors !
II me semble que pour éviter que cette discussion ne finisse avec des messages ECRIS EN MAJUSCULES avec plein de !!! (je blague) je me dois
d'éclairer certains points de ma démarche.
L'expérience de la première édition a montré que ce projet est un bon plan à la fois pour les cies et les acheteurs de spectacles.
Les cies sont coproductrices de l'évènement. Les
recettes se répartissent entre une aide de la mairie, chapeau (avec l'accord de la municipalité), bar et restauration, mais les cies signent une charte qui les invite à déclarer le travail des comédiens qu'elles embauchent pour cette opération de promo. Pas de travail illégal, donc.
Après chaque participant a ses propres motivations et positionnement par rapport aux autres festoches.
Tu auras compris que jouer les "anti-Eclat" sert avant tout à faire parler de notre évènement. Si nous le montons en même temps qu'Aurillac, les raisons sont pragmatiques: il est difficile de bloquer une semaine en mai, juin ou septembre pour cause de -vrais- contrats plus nombreux. Reste juillet, mais il se trouve que la ville de Valence organise sur tout le mois son propre festival, davantage orienté musique, qui attire plus de 15000 personnes, et l'expérience nous a montré que si on veut compter un peu de monde en Août, mieux vaut être proche de la fin du mois... sans empiéter sur "Au bonheur des mômes", le festival du Grand Bornand qui mobilise dans la même région beaucoup de pros. La semaine qui nous reste est celle d'Eclat. C'est tant mieux ou tant pis, mais c'est comme ça.
Les questions que soulèvent le phénomène Aurillac sont nombreuses. On peut effectivement se réunir pour en parler. J'ai tenté le coup à plusieurs échelons et me suis aperçu que le sujet est trop sensible pour une discussion sereine. J'en ai pris pour mon grade et c'est pourquoi j'ai préféré l'action constructive. Et puis pour nombre de Cies de petite taille, il est difficile de mobiliser une journée de travail et des frais pour se déplacer à des réus régulières. Question de moyens et de temps quand on évolue dans une structure artisanistique.
Mon positionnement perso par rapport à Aurillac est mûri d'une vingtaine de participations. Je garde mes sentiments
pour moi quand
il s'agit de communiquer au nom des cies engagées à Dehors. En revanche, il me semble salutaire de tenter de démolir le mythe du "je vais prendre des plans à Aurillac" qui ne correspond plus du tout à la réalité. Je vois trop de cies investir de l'énergie et des moyens qu'elles n'ont pas pour revenir bredouilles.
Ce projet est ma modeste contribution au débat. Qui ne concerne pas seulement l'avignonisation de Eclat, ou la légitimité d'investir dans de la rpomo en live plutôt qu'en plaquettes et dossiers. Il
est urgent je crois que nous nous interrogions sur notre propre façon de travailler: les tournées en araignée, avec des dates géographiquement très dispersées, le coût des spectacles en rapport avec leur déplacement, l'implantation des cies sur un réseau local (on est souvent mieux perçus et plus invités loin de chez nous...) avec un public et des pros qui suivent un parcours d'artiste sur plusieurs créations et enfin les moyens que l'on consacre à l'accueil des amis techniciens, diffuseurs et bénévoles qui offrent leur temps et compétences sans retour sur ces évènements qui ne pourraient se monter sans eux.
Enfin, il était à une époque de bon ton de railler les spectacles de cour, un sous genre du théâtre de rue -qui était déjà un sous genre-.
Je pense au contraire que les cours d'école sont un merveilleux endroit pour y inventer des moments de lien social et que c'est bien dommage qu'elle restent bouclées durant l'été.
Les collectifs qui s'organisent dans les cours d'Aurillac et de Châlon sont souvent de belles aventures humaines et artistiques. Pourquoi ne pas offrir ces joyaux à nos propres territoires ?
Enfin,
pour rebondir sur une récente polémique au sujet de ces salauds de public qui se gavent de trois à cinq spectacles par jour en esquivant autant de chapeaux. Des personnes plus compétentes que moi ont calculé que le rapport audience/manche était entre 20 et 30 c d'euros par personne. Ce qui correspond à ma propre estimation. Force est de constater que celui qui à la fin de la journée aura dépensé un euro en spectacles aura quand même bu, mangé, dormi voire acheté quelques breloques sur place, et l'addition finale est corsée. Si je laisse à d'autres le débat sur la répartition du gigantesque gâteau qui sort des fourneaux de Eclat, je note que lors de la précédente édition de Dehors, avec un peu de pédagogie, beaucoup de respect et moyens consacrés à l'accueil du public, nous sommes à un rapport de 2 à 3 euros, et de la vente de produits locaux...
Voilà voilà !
Je vous laisse sur ces quelques réflexions en espérant que Dehors fera des petits dans d'autres
régions. Je sais que Thé à la Rue a déjà son propre projet en route.
J'ai un petit regret pour les copains que je ne pourrai saluer à Aurillac cette année, il y en a tant dont j'aimerai voir ou revoir le boulot. Je vous laisse le soin chers lecteurs de leur transmettre mes amitiés... et vous souhaite de bons festivals où que vous les viviez.
A bientôt;
Tof
De : Thierry Decocq < >
À : Mathurin Gasparini < >; ; Benoit Deschamps - Tontonballons < >
Envoyé le : Samedi 11 août 2012 11h40
Objet : Re: [rue] Tontonballons n'ira plus à Aurillac, mais DEHORS! du 22 au 26 Aout Bourg Lès Valences
Salut Mathurin,
Je partage en grande partie vos points de vue à Benoit et toi, mais critiquer les festivals et leurs organisateurs me semble un peu trop simple et réducteur. Quant à commencer sa phrase par "nous n'irons pas...", je trouve que l'on est plus dans le registre du caprice que dans celui de la critique constructive.
Je me souviens en particulier de la polémique lancée il y a deux ou trois mois de cela par d'aigris recalés de Chalon, avec Pedro Garcia se faisant carrément engueuler sur la liste. Il ne faut pas pousser!
Si Aurillac, ou dans une moindre mesure Chalon (plus encadré) prennent au fil des ans cette dimension, c'est aussi parce que les Arts de la Rue se sont énormément développés tant en offre qu'en qualité, et on ne peut que s'en réjouir. J'imagine la situation des organisateurs devant faire face à pléthore de demande (700 recalés pour Chalon 2012 -dont le collectif que nous avons essayé de mettre en place autour de mon association- si je me souviens bien). Les festivals qui ont été et sont encore les moteurs de notre développement risque d'en devenir les victimes.
Je crains plus que tout l'émergence des "off du off" sur le thème "on ne veut pas de moi mais j'y vais quand même". Je peux faire la liste de ceux qui trouverons que c'est leur droit et un comportement libertaire (et par conséquent responsable), ça risque surtout de brouiller les cartes et de rendre l'espace du festival illisible pour ceux qui y assistent.
Cela donnera une occasion aux élus de prendre des mesures "au nom de l'ordre public", ce qui généralement n'est bon pour personne. Je pense à François choqué de voir des hommes en bleu sur nos Boums!
Bref, le "offs du off" ne peut que créer ce que les ultralibéraux appellent des bulles... Et quand la bulle éclate, ça s'appelle la crise!
L'offre de festival se diversifie (ce que rappelle Benoit). Peut-être l'occasion de ne pas tous se retrouver dans des conditions plus ou moins lamentables dans les mêmes lieux telle une nuée de moustiques attirés par la lumière, en croyant que si on y est pas le spectacle ne sera pas vu par les programmateurs et la saison sera foutue!
Il faut peut-être aussi admettre que chaque festival a ses règles du jeu que l'on est libre ou non d'accepter, plutôt que de vitupérer vainement sur la liste.
Les choses ne sont pas inéluctables. Mon expérience des festivals vus de l'intérieur est assez récente, mais j'ai vu par exemple à Chalon comment certains collectifs sont capables de s'emparer d'un lieu et ne pas se contenter de jouer des spectacle en essayant désespérément de racoler les programmateurs: on sait où et qui aller voir, il y a un espace d'accueil où il est possible de discuter sur place (en plus du Carmel)... L'accueil du public fait partie de l'ambiance qui doit se créer autour du spectacle.
C'est du off, on est pas payé et ça marche au chapeau, mais les artistes sont programmés identifiés (vive la chasse aux pastilles!). Ceux qui sont en promo peuvent se retrouver dans un tel système qui est sans doute perfectible. Compliqué de dire si dans le cadre de pratiques professionnelles c'est acceptable, cela mérite au moins une réflexion approfondie plutôt que des réponses expéditives.
J'ajouterai que dans toutes les discussions récentes, je n'ai pas beaucoup entendu parler du public, je trouve que c'est dommage: Il n'est pas étranger il me semble à ce pour quoi nous nous battons.
Donc plutôt que de râler, il faudrait peut-être se mettre tous ensemble (compagnies, responsables de festivals, programmateurs, élus, public...) autour d'une table et réfléchir à la manière dont peuvent et doivent évoluer les festivals. Le secteur a énormément et rapidement bougé: il faut en tenir compte. On a tous à y gagner.
Organiser ce (vaste) chantier peut et ce doit être une des missions de la Fédé, mais elle n'a pas à s'en auto-saisir car la Fédé ne pousse pas hors-sol! C'est aux compagnies, aux artistes et aux partenaires des Arts de la Rue de faire appel à elle.
On va avoir quelques mois pour poser la question et chercher ensemble des réponses après la saison des festivals 2012 et avant que ne se mette en place la saison 2013, dont tout le monde se fout puisque la fin du Monde doit avoir lieu comme chacun le sait le 21 décembre 2012!
En attendant, bon festivals d'Aurillac ou d'ailleurs à tous.
@+
Thierry
Le 11/08/12 01:38, Mathurin Gasparini a écrit :
Je partage en grande partie vos points de vue à Benoit et toi, mais critiquer les festivals et leurs organisateurs me semble un peu trop simple et réducteur. Quant à commencer sa phrase par "nous n'irons pas...", je trouve que l'on est plus dans le registre du caprice que dans celui de la critique constructive.
Je me souviens en particulier de la polémique lancée il y a deux ou trois mois de cela par d'aigris recalés de Chalon, avec Pedro Garcia se faisant carrément engueuler sur la liste. Il ne faut pas pousser!
Si Aurillac, ou dans une moindre mesure Chalon (plus encadré) prennent au fil des ans cette dimension, c'est aussi parce que les Arts de la Rue se sont énormément développés tant en offre qu'en qualité, et on ne peut que s'en réjouir. J'imagine la situation des organisateurs devant faire face à pléthore de demande (700 recalés pour Chalon 2012 -dont le collectif que nous avons essayé de mettre en place autour de mon association- si je me souviens bien). Les festivals qui ont été et sont encore les moteurs de notre développement risque d'en devenir les victimes.
Je crains plus que tout l'émergence des "off du off" sur le thème "on ne veut pas de moi mais j'y vais quand même". Je peux faire la liste de ceux qui trouverons que c'est leur droit et un comportement libertaire (et par conséquent responsable), ça risque surtout de brouiller les cartes et de rendre l'espace du festival illisible pour ceux qui y assistent.
Cela donnera une occasion aux élus de prendre des mesures "au nom de l'ordre public", ce qui généralement n'est bon pour personne. Je pense à François choqué de voir des hommes en bleu sur nos Boums!
Bref, le "offs du off" ne peut que créer ce que les ultralibéraux appellent des bulles... Et quand la bulle éclate, ça s'appelle la crise!
L'offre de festival se diversifie (ce que rappelle Benoit). Peut-être l'occasion de ne pas tous se retrouver dans des conditions plus ou moins lamentables dans les mêmes lieux telle une nuée de moustiques attirés par la lumière, en croyant que si on y est pas le spectacle ne sera pas vu par les programmateurs et la saison sera foutue!
Il faut peut-être aussi admettre que chaque festival a ses règles du jeu que l'on est libre ou non d'accepter, plutôt que de vitupérer vainement sur la liste.
Les choses ne sont pas inéluctables. Mon expérience des festivals vus de l'intérieur est assez récente, mais j'ai vu par exemple à Chalon comment certains collectifs sont capables de s'emparer d'un lieu et ne pas se contenter de jouer des spectacle en essayant désespérément de racoler les programmateurs: on sait où et qui aller voir, il y a un espace d'accueil où il est possible de discuter sur place (en plus du Carmel)... L'accueil du public fait partie de l'ambiance qui doit se créer autour du spectacle.
C'est du off, on est pas payé et ça marche au chapeau, mais les artistes sont programmés identifiés (vive la chasse aux pastilles!). Ceux qui sont en promo peuvent se retrouver dans un tel système qui est sans doute perfectible. Compliqué de dire si dans le cadre de pratiques professionnelles c'est acceptable, cela mérite au moins une réflexion approfondie plutôt que des réponses expéditives.
J'ajouterai que dans toutes les discussions récentes, je n'ai pas beaucoup entendu parler du public, je trouve que c'est dommage: Il n'est pas étranger il me semble à ce pour quoi nous nous battons.
Donc plutôt que de râler, il faudrait peut-être se mettre tous ensemble (compagnies, responsables de festivals, programmateurs, élus, public...) autour d'une table et réfléchir à la manière dont peuvent et doivent évoluer les festivals. Le secteur a énormément et rapidement bougé: il faut en tenir compte. On a tous à y gagner.
Organiser ce (vaste) chantier peut et ce doit être une des missions de la Fédé, mais elle n'a pas à s'en auto-saisir car la Fédé ne pousse pas hors-sol! C'est aux compagnies, aux artistes et aux partenaires des Arts de la Rue de faire appel à elle.
On va avoir quelques mois pour poser la question et chercher ensemble des réponses après la saison des festivals 2012 et avant que ne se mette en place la saison 2013, dont tout le monde se fout puisque la fin du Monde doit avoir lieu comme chacun le sait le 21 décembre 2012!
En attendant, bon festivals d'Aurillac ou d'ailleurs à tous.
@+
Thierry
Le 11/08/12 01:38, Mathurin Gasparini a écrit :
Bravo !
Tu as écrit le texte que je n'osais pas écrire pour annoncer Dehors !
Nous on jouera Triviale Poursuite tous les soirs et Vente aggravée tous les matins...
Et il y aura du soleil !
Mathurin
Le 10 août 2012 17:55, Deschamps Benoit - Cie Tontonballons < " target="_blank" href="mailto: "> > a écrit :
C’est de la pub, balancez direct à la poubelle sauf si vous vous ennuyez avec votre smartphoneBonjour à toutes et à tous !Que vous soyez organisateur de spectacle ou spectateur, ouvrez grand vos yeux !Enfin un festival à petite échelle, où l’on peut voir des spectacles, rencontrer des gens… on vous laisse volontiers les conditions d’accueil misérables, l’aligot froid et les embouteillages piétons de la rue des Carmes ;)Nous, on sera DEHORS !DEHORS! ce sont cinq jours de programmation de spectacles de théâtre en extérieur à destination des programmateurs professionnels et ouverte au public, du 22 au 26 Aout à Bourg les Valences.Seront programmés vingt cinq spectacles présentés par des compagnies professionnelles originaires de la région Rhône-Alpes.Du 22 au 26 Aout, de 10h à 21hécole Barthelon, quai ThannaronBourg les valencesLa Compagnie Tontonballons présentera tous les jours à 14h30 son conte musical interactif en ballons et en chansons en version duo avec le pianiste fox( relâche le 25 )si vous ne connaissez pas encore l'univers de Tontonballons, je vous invite tout simplement à visiter notre site internet et à découvrir nos spectacles en salle et pour les carnavals ( jusqu'à 20 000 ballons) www.tontonballons.comVous pourrez également nous retrouver au festival des humoristes de Tournon sur Rhône les 25, 28 et 29 Aout!N'hésitez pas à me contacter par mail ou téléphone pour vous donner plus d'informations ou pour recevoir une invit' pro!Au plaisir de vous faire partager notre passion du spectacle vivant!!benoit, Compagnie Tontonballons,06 69 40 99 64PS : comme Perrine nous l’a fait remarquer, elle sera à Aurillac bien sûr ! on aurait du faire ça à un autre moment !En fait, on est tous déçus d’Aurillac, en tant que pro, c’est misérableEt dire qu’on me reçoit comme un prince lorsque je suis en tournée, payé !Et là, il faudrait qu’on craque le budget pour aller jouer gratos, dormir dans des camions, avec des conditions techniques de merde ??Quitte à assumer des conditions précaires pour se faire connaitre, autant le faire près de chez soi, dans un esprit de réseau local de compagnies.Et c’est pour cela qu’on organise un évènement différent pendant la foire aux spectacles d’Aurillac…ici, pas ou peu de débutants, que des spectacles qui cartonnent, et une logique de développement locale.Comme il existe le festival « nous n’irons plus à Avignon », NOUS N’IRONS PLUS A AURILLAC (sauf si c’est payé normalement)Nous cesserons donc de cautionner la fabuleuse politique culturelle locale et les exploiteurs carriéristes qui vivent très bien de votre bénévolat annuelNous cesserons d’engraisser le gérant du petit casino qui augmente le tarif des bières pendant le festivalChacun ses choix, et peut être que ce mail aura fait changer d’avis l’un de ces fameux programmateurs ou vous aura donné vous aussi l’envie d’organiser votre propre « foire aux spectacles » dans votre région, cette année ou l’année prochaine !(imaginez 1 foire au spectacles par région à la même date l’année prochaine !!)Bonne saison et bon festival cependant, j’espère que vous ne perdrez pas trop d’argent et que vous aurez au moins quelques contratsTontonballonsvoici le programme détaillé du festival:CHAPITEAU:11h00 – 12h00 Cie Cartilage: Elvire Cocotte13h30 – 14h30 Cie Créamine : Mie de Pain15h30 - 16h30 Carton plein17h15 – 18h00 La dieselle Cie: Miss Liddl18h45 – 19h30 Cie de la panthère noire: Miss bazooka19h50 – 20h35 Toufo21h35-22h20 D'évolution(s)plus Lily Pide en free dans sa caravane à côté de l'entrée du chap.COUR:11h00 – 12h00 Portez-vous bien Cie! : Vente aggravée14h30 – 15h15 Tonton Ballons & les zaventures du petit roi15h30 – 16h15 Cie Pescatune: Roser & Rosette16h45 – 17h45 Cie Solidad : Faut pas Poucet17h45 – 19h00 Compagnie S: Les Iyelos19h00 – 19h45 Cie Tonne : Triviale Poursuite20h15 – 21h15 Cie du Fil à Retordre : T'emmêle pas21h30 - 22h30 Cie Divers Gens: Radiations DurablesYOURTE:16h20 - 16h35 Cie Transit : danse Buto19h00 - 19h45 Hippocampe Théâtre: Petit cirque à l'indienne20h15 - 21h30 L'épistolaireECRIN:11h00 – 12h30 La Droguerie Moderne: L'an Oui14h00 – 14h50 Gros Câlin15h45 – 16h45 Gustave Fugine20h15 - 21h15 Concert de pocheEn plus en free:Jean Lézar pour Barbarythmes et le guide pro.
Pour acceder aux archives, a l'aide, a la conversion de mail, a la page de desinscription : http://www.cliclarue.info/#tabs-8
Et pour tout probleme, vous pouvez raler aupres de " target="_blank" href="mailto: ">
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