Salut, Jacques, je ne comprends pas ton refus de cette action que tu traites de "connerie" et de "faute politique". Où est la connerie, où est la faute politique ? Tu ne peux pas porter de tels jugements sans donner des explications solides. Tu te contentes "d'affirmer". Faut t'expliquer, mon gars ! Qu'est-ce qui te gène : qu'on mette la burka sur le pape ? Serais-tu papiste, croyant et soumis à sa sainteté mon cul ? Tu vois pas que c'est partout la même histoire de curés, de papes, de popes, d'imams, de rabbins, de gourous, de pouvoirs politiques usurpés, de croyances antiques, néfastes, destructrices, ... Il ne s'agit pas de dérision, il s'agit de gueuler à la face de tous ces peigne-cul que nous les refusons, que nous voyons leur magouilles, il s'agit d'être nombreux, il s'agit d'être partout. Les Pussy Riot, les femmes tunisiennes, les réfugiés palestiniens depuis 64 ans, les Egyptiens frustrés de leur révolution, l'amérique du sud écrasée par l'inquisition ... c'est nous. Et de l'autre côté c'est "la religion", la théocratie, les dogmes, l'intolérance, le profit, soutenus et amplifiés par la bêtise, la crédulité et la pauvreté entretenue. Alors ! Qu'est-ce qui te gène ?? Vas-y, propose mieux, au lieu de cracher dans la soupe ! "à l'heure où le gouvernement tunisien envisage de constitutionnaliser l'infériorité de la femme, je pense qu'affubler une statue d'une burqa est non seulement une connerie, mais plus grave, une faute politique" Je me suis permis de remettre ta phrase dans l'ordre, en supprimant les accessoires entre parenthèses. Cette phrase ne veut rien dire, il n'y a aucun lien logique entre le début et la fin. "à l'heure où les chiens hurlent, je pense que le café est froid." Pascal Laurent (de Friches) (merci à vous : Pascal Larderet, JL Prévost et Marc Cassar) Le 20 août 2012 à 19:18, Jacques Fontaine a écrit :
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