Je ne sais pas de quel Jacques tu
parles, mais que ça soit pour un ré-équilibrage ou pour des douces
folies érotiques, je l'écris bien haut : "déshabillons Jacques !".
Le 30/01/2013 19:35, stef filok a écrit :
"
type="cite">
moi, tant qu'un opéra qui coute 2 millions d'€ et qui sera joué
pour les nantis du capitole 2 fois seulement je chercherai des
solutions pour les autres, c'est sur, ça fait bosser des
techniciens mais quel gachis,...
Vous vous rappelez cette histoire , ce metteur en scène
d'Avignon qui voulait à tout prix une scène en marbre de
carrare, eh bien ces plaques ont été livrés c'etait
magnifique mais il n'a pas pensé que ça brillait trop alors
il a embauché des gens pour faire du faux marbre de Carrare
par dessus mais en mat, c'est aussi là dedans que cet argent
part, pour des conneries d'incompétents.
From:
">
To:
">
Date: Wed, 30 Jan 2013 19:27:11 +0100
Subject: [rue] oFF, encore et encore
La
question qui se pose, à toutes les strates, de l’Etat
aux communes, est le budget de la culture et pour
quelle culture ?
Sans
vouloir déshabiller Jacques, vous en connaissez
beaucoup des festivals off pour la musique classique ?
Beaucoup
d’entre nous, dont les organisateurs de festival, les
programmatrices de structures culturelles, les
adhérent-e-s à la Fédé, travaillent à ce
rééquilibrage.
La
campagne L’Art est Public pour une
politique culturelle réinventée est dans cette
dynamique. Et rien ne sera jamais acquis.
Ça
peut paraître démago mais c’est ce que je pense.
Détachez
vos ceintures,
François
De :
">
[
">mailto:
] De la part
de boueb
Envoyé : mercredi 30 janvier 2013 19:09
À :
">
Objet : Re: [rue] impériale, OFF, encore et
encore
Salut Valérie,
Je comprends bien que la position de programmatrice
soit difficile à tenir face aux subventionneurs. Je me
rends compte qu'il ne faut rien lâcher et cravacher
sans cesse. Je sais aussi que vous crouler devant les
sollicitations des compagnies et que certaines
baissent le prix de vente du spectacle avant même que
leur venue ne soit évoquée. J'ai envie de partager ta
colère-triste, mais en relisant les messages
précédents, hormis le fait que chacun parle de là où
il est, je ne vois rien d'accablant, de démoralisant
ou de dévalorisant pour le combat que tu mènes.
Laurent explique bien qu'il comprend qu'un festival
veuille rendre service à quelques compagnies en leur
ouvrant la porte d'un OFF et qu'une compagnie pense en
avoir besoin.
Et aujourd'hui elle ne pense pas à tord, cette
compagnie, même si ce n'est pas soutenable. Il manque
en effet un maillon à la chaîne : le rodage, la
finalisation d'une création en résonance avec les
spectateurs, la rue, le public, les passants, les
professionnels (exigeants et bienveillants), les amis
(les vrais, ceux qui peuvent te dire que tu étais "à
chier !") et les collègues. Il faudrait faire rentrer
les 20 premières expérimentations sur le budget de
production... mais combien de compagnies ont un budget
de production qui dépasse leur propre trésorerie ? Il
faudrait donc un dispositif de rodage qui permette de
jouer pour être fin prêt. Alors de quelle poche
tirera-t-on ces budgets ? Pour le moment,
l'investissement vient surtout des poches trouées des
compagnies, et je suis bien d'accord pour dire que
cela ne peut plus durer !
Rhû !
Bouèb
les grands moyens
PS : Laurent et Elodie, je vous embrasse également
tout deux, je serais ravi que vous m'invitiez, mais
pour quoi au juste, à quelle occasion ?
Le 30/01/2013 17:49, compagnie Progéniture a écrit :
Mon message ne
s'adressait pas à toi Filok !
Valérie Daniel
Le 30 janv. 13, à 17:36, stef filok a écrit :
bon je recommence, parce
qu'apparemment j'ai pas été clair, je propose plutôt
que de perdre une journée entre 2 dates de se
constituer un petit pécule pour amortir les
déplacements ou dégager un ou 2 salaires, c'est
modeste mais c'est une idées, si plusieurs villes aux
alentours dégagent aussi du budget et accueillent
cette même compagnie c'est une mini tournée qui
s'installe, je vous rappelle que je suis en Ariège et
qu'ici on connait autant le theatre de rue que le
curling à bangkok, c'est un début et pour défendre mon
projet je dois commencer par quelquechose après je
suis apte à tout arrêter si les communes ne suivent
pas,... je rappelle c'est pas grand chose comme
salaire mais c'est mieux que rien...
CC:
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;
">
;
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From:
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Date: Wed, 30 Jan 2013 17:22:01 +0100
To:
">
Subject: Re: [rue] impériale, OFF, encore et encore
Chers amis de la Rue
J'interviens rarement sur cette liste.
J'ai les 2 casquettes : programmatrice et compagnie
En tant que programmatrice, je tenais juste à vous
dire que j'ai envie de hurler quand je vous lis :
ça fait 14 ans que je me bats sur les budgets de
Coulée Douce pour que tout le monde soit payé,
défrayé, logé et nourri à la hauteur des devis que
vous nous envoyez.
Je me bats pour que les budgets ne baissent pas, pour
que vous, professionnels, puissiez jouer dans des
conditions normales de compagnie professionnelle.
Alors dites moi, comment je vais faire pour défendre
notre bout de gras et obtenir + de financement pour le
festival, si en face les institutionnels et les
politiques me répondent :
"Je ne vous comprends pas, les compagnies acceptent
de jouer sans être payées ! Alors pourquoi vous
donner plus d'argent ?"
Finalement, nous programmateurs, devrions accepter
votre proposition de vous proposer de venir jouer sans
rémunération aucune.
Je suis triste…
Valérie DANIEL
Cie Progéniture
Festival Coulée Douce
La P'tite Dernière Avant l'Hiver
24 bis, rue du Gabon - 75012 Paris
T - 01 44 73 03 93
Mail -
">
Site - http://progeniture.free.fr
Le 30 janv. 13, à 16:37, elodie harauchamps a écrit :
Salut Laurent et Boueb,
Bonjour aux autres,
Ce qui est emmerdant dans les festivals off, ce ne
sont pas les initiatives qu'elles viennent des
organisateurs ou des compagnies, ce sont les
sélections. Si elles se font pour le bon déroulement
du festival, ça peut passer. Si c'est pour te faire
pointer à cause des critères dont on n'a souvent que
peu de détails, là ça me fait chier. Tu viens te
rôder, tu viens partager, tu viens tenter et tu te
fais refouler parce que t'es pas comme ci ou trop
comme ça. Quand tu es au chapeau, à tes frais, à ta
bonne volonté, c'est quand même un peu fort qu'on te
laisse pas faire ton spectacle puisque tu es là pour
t'essayer.
Sinon, oui, ça peut profiter à tout le monde... hein
Laurent qu'on rigole bien même si on n'est pas payés
cher ! Bon, moi aussi, j'en ai marre d'être payée pas
cher !!! Je veux pas être payée cher, je veux être
payée tout court, normal, sans les plombes de négoc'.
On négocie rien comme ça. Ni les dentistes, ni les
mécanos, ni les tapis, ni rien, sauf les spectacles.
Et à propos du circuit des festivals... Je trouve bien
les festivals faits pour les habitants du lieu où il
se situe, que ça fasse venir du monde alentour. Quand
le public peut voir les spectacles, pas y courir,
zapper et frénétiquement sprinter au suivant. Je suis
emmerdée avec la consommation du spectacle et du reste
qui se fait dans les festivals.
Je les trouve moins bien quand une ville est prise
d’assaut par des cultureux au discours pompeux et
qu'ils profitent qu'aux lecteurs de télérama.
Et si on parlait de ça aux débats qui vont venir à
Marseille ?... entre cultureux... qu'en dis-tu l'ami
Driss ? On invite Boueb pour donner espoir dans
l'union qui fait la force...
Et sinon, par les temps qui sprintent, j'ai l'honneur
de vous présenter Le Cri de Zaza, service de cri
public.
Le dossier se télécharge ici :
https://www.wetransfer.com/downloads/2909cedd62ce28391eef6ee83caf62fd20130130101253/061232ff102a81826fd29299cec3b2a120130130101253/7b071e
Laurent, je te bise.
Boueb, je t'embrasse.
Les autres, pas.
Elodie
Le 30 janvier 2013 15:11, boueb <
">
>
a écrit :
Salularue !
Sur cette liste, avec les collègues, avec les
compagnies amies ou locales, avec la Fédé Breizh, et
avec d'autres utopistes réalistes, nous ressassons
sans cesse les mêmes problèmes auxquels nous répondons
souvenat par des excuses et des conjonctures, et
presque jamais par des solutions. Une idée germe à
chaque saison, mais sommeille ensuite parce que
l'urgence et la survie ne laisse que peu de temps au
jardinage.
Nous constatons :
- que nous passons beaucoup de temps et/ou d'argent
pour trouver des dates.
- que le développement d'une diffusion s'apparente de
plus en plus à de la communication commerciale, de la
force de vente et des offres promotionnelles
(mailing, phoning, visibilité en off ou en forum,
drague au bar à champagne, label de qualité...).
- que faire la queue sur la longue liste des
programmateurs qui deviennent des sélectionneurs trop
sollicités met les compagnies en position de demandeur
soumis qui ouvre des portes à une multitude de
compromis.
- que nous ne "tournons" pas, mais que nous faisons
des aller-retours et donc une circulation en étoile.
- que nous passons notre temps sur les routes.
(bénévolement, en contradiction avec les conventions
collectives)
- que les budgets "transport" sont exorbitants, bien
que ric-rac, et profitent aux géants du pétrole et un
peu aux pompistes.
- que nous sommes capables de sortir entre 500 et
5000€ pour se montrer à Chalon ou Aurillac, et/ou de
travailler une semaine gratis, pour trouver des dates
ou roder un spectacle.
- que les conseils généraux et régionaux, et d'autres
collectivités, nous demandent une plus forte
implication sur nos territoires et auprès de leurs
habitants, alors que nous passons notre temps au
bureau et en répet' pour aller jouer ailleurs.
- qu'un spectacle ne se rode et ne se bonifie qu'en
jouant.
- qu'être rodé, que jouer et qu'être meilleur sont
les conditions d'une bonne circulation d'un spectacle.
- que rien n'arrête un intermittent, tant qu'il est
indemnisé, il bossera modestement 2000 heures dans
l'année pour être payé 507 en 10 mois, bref
qu'investir dans le précaire c'est toujours (et de
plus en plus rentable).
...
Nous pensons :
- qu'un groupe de 5 Cies, c'est déjà un réseau.
- que chacun trouve 5, 10 ou 15 milles euros boules
auprès des collectivités est un travail plus
constructif que d'essayer de parler à Patrice
Papelard (c'est un exemple, pas un bouc émissaire).
- qu'avec ces budgets (mis en commun ?!) chacun peut
inviter les 4 autres compagnies à jouer leur(s)
spectacle(s) sur leur événement, plus ou moins à
hauteur d'un coût plateau (en fonction de la grosseur
des spectacles et des équipes).
- que les chapeaux (et/ou les entrées), la vente
d'objet en tout genre, la buvette et la restauration
sont des recettes conséquentes.
- que ça fait déjà entre 5 et 10 représentations pour
chacune des compagnies.
- qu'à force de bourlinguer, de gérer des lieux
collectifs et/ou d'organiser des événements, on a une
idée de ce qui est bon dans une rencontre entre des
gens et des propositions artistiques.
- que plusieurs petits réseaux de cette sorte qui
travaillent ensemble, c'est un gros réseau, et c'est
la possibilité de circuler et d'échanger de régions en
régions.
- que nous aimons rencontrer des gens et découvrir
leurs initiatives, nous entraider, et pas seulement
faire "une bonne prestation" et rentrer à la maison.
- que le problème n'est pas une surproduction de
sous-qualité, mais plutôt d'une sous-diffusion et d'un
manque de coopération artistique exigeante et
bienveillante.
- que le défis de mettre en place le 1% goudron (100€
investit dans la voirie = 1€ investit dans l'action
artistique de rue) permet de relever l'enjeu des 36000
communes (36 dates minimum pour 1000 compagnies !)
...
Ces constats, arguments et pistes sont à compléter.
Nous on commence demain et vous !?
Rhû !
Bouèb
les grands moyens
PS : je suis vert, j'ai effacé mon premier jet de
liste sans garder de brouillon, j'ai perdu 20 minutes
en plus des 15 que j'y avais précédemment consacré, je
n'ai pas retrouvé les formulation et les flèches
lancées au premier coup. Et maintenant je file emmener
le moins grand de mes fils à son cours de roller.
Le 30/01/2013 11:35, François Mary a écrit :
Dans le même genre, je viens d’être contacté par une
radio pour savoir si la fanfare avec qui je travaille
souhaite jouer pour aller réveiller un employé de
Castorama chez lui, l’accompagner en jouant à son
travail, et jouer dans le magasin pour les employés à
son arrivée. Tout ça avec comme salaire de la com.,
c’est-à-dire un passage sur une radio privée, RTL il
me semble, et une audience promise d’un million
d’auditeurs. Pas de cachets, défraiement à voir ?
Comme argument : d’autres ont déjà accepté. Je vous
laisse deviner ma réponse.
Ces propositions sous forme de loterie ressemble plus
à la roulette russe.
Bonne journée à tous,
François
De :
">
[
">mailto:
]
De la part de
">
Envoyé : mercredi 30 janvier 2013 01:10
À :
">
Objet : [rue] Re: Festival Quartiers Libres
2013 : Candidatures au OFF encore !!!
Bien sûr qu'on le sait tous !
Moi, aussi, je suis fatiguée et pas si jeune ... C'est
con. Aussi.
Et je lutte contre cette précarité revendiquée et qui
ne voit pas plus loin que le bout de son nez.. Si la
"sociale-démocratie" nous mettait en esclavage, il y
aurait toujours quelqu'un pour négocier le poids des
chaînes ...
Entièrement d'accord avec toi sur ces festivals, et
tutti !
Pour 1 euro de dépensé sur un festival : 6,83 euros de
rapport ... (Source : la Scène, j'ai l'article mais
trop lourd pour la liste : Automne 2010).
Marie
Dans un e-mail daté du 30/01/2013 00:19:49 Paris,
Madrid,
">
a écrit :
On le sait
Tous, on le sait
On le sait
Mais en attendant les mairies sont heureuses, les
commerçants se font du pognon, l'artiste hurle à sa
mort, l'organisateur finit sur les rotules.
On le sait mais on continue
On passe une nuit à remplir un dossier pour justifier
de toutes nos belles raisons de devoir être là dans ce
festival
On fait du off et on rêve du in pour l'an prochain
parce qu'on est payé pour de vrai comme le dentiste et
on peux manger mieux
On le sait et on continue
Et il arrive que l'on s’essouffle
Moi je suis fatiguée, c'est con je suis jeune!
Je me demande si j'ai du plaisir à être dans un
festival?
Je me demande si le terme art de rue peux se détacher
du mot festival ?
Et je me demande si il y a une autre voix-e possible
que ce brouhaha de festivals!
Bien à vous gens de rue
ioana
IOANA
06 22 935 346
ioana Arrufat / 5,
traverse port de bouc / 13016 Marseille
"Vous n'avez rien si
vous n'avez pas les histoires" , Leslie M. Silko.
FAIAR
La compagnie Du des branches
De : laurent driss <
">
>
À :
">
Cc :
">
Envoyé le : Mardi 29 janvier 2013 23h03
Objet : Re: [rue] Festival Quartiers Libres
2013 : Candidatures au OFF ouvertes jusqu...
Oui, c'est facile de cracher sur des gens qui essayent
de faire vivre quelque chose.
Croyez-vous que ces gens que je ne connais pas mais
que j'imagine plein de bonne volonté (pour organiser
des festivals, faut quand même en vouloir, aller
chercher du pognon, frapper aux portes, organiser,
c'est pas une mince affaire..) ne cherchent qu'à
exploiter gratuitement le travail d'autrui ?
Pour moi cette volonté de faire exister un évènement
qui réunisse les gens mérite le respect. Il me semble
que c'est l'essence même du métier. Tenter de donner à
la vie de la cité une couleur un peu utopique, dans
laquelle les gens s'aiment, sont contents de se rendre
au spectacle, de vivre quelque chose dans un ensemble
artificiel, certes, mais dans lequel on se retrouve
quand même.
Alors ouvrir cette fête à ceux qui voudraient venir
rôder leur spectacle, car un spectacle de rue se
travaille souvent avec le public et il n'est pas rare
que les marques soient prises seulement au bout de la
20°... C'est du gagnant-gagnant : Je viens bosser mon
show, et toi ça te fait des chiffres séduisants pour
aller trouver de l'argent pour la session prochaine.
Et peut-être ainsi ton festival pourra prendre de
l'ampleur et l'an prochain tu pourras peut-être
inviter une compagnie en plus.
Ne pensez-vous pas que nous sommes un peu tous dans le
même bateau ?
Le fait de tirer sur ceux de bâbord quand tu es à
tribord ne fait pas nécessairement avancer le bateau
plus vite.
Je suis désolé mais ça m'agace un peu cette position
de l'artiste (la plupart du temps payé par
l'interprofessionnelle) qui a la nécéssité de se faire
payer pour trouver sa légitimité. Y'a quelque chose
qui ressemble à de l'arrogance. Un peu trop humain
comme dirait Nietzsche pour qui se targue de cultiver
la nature humaine.
Parce que voyez-vous, chers messieurs dames indignés
par cette annonce de bonne foi, eux aussi ils font le
même métier que vous, aussi ils se battent pour faire
exister autre chose que les fonds de pension, et pour
réveiller le sentiment d'une société.
Là, vous vous trompez de combat.
Ps pour tes dents, tu peux aller à l'école
d'orthodontie, ils te soignent gratos (parce que là
aussi ils sont en train de rôder leurs gestes)
Allez bonne route à vous tous
Le 29 janvier 2013 17:34, <
">
>
a écrit :
Bien vu ! ;-)
Le concours des Off continue donc !
Marie
Dans un e-mail daté du 29/01/2013 17:30:29 Paris,
Madrid,
">
a écrit :
Merde, ça aurait été
vraiment drôle si l'adresse http://www.vive-les-off.com pointait
vers un site réel… genre vers ça
Ulrich
www.rezorue.com
De : boite vide <
">
>
Répondre à : boite vide <
">
>
Date : mardi 29 janvier 2013 17:06
À : <
">
>
Objet : Re: [rue] Festival
Quartiers Libres 2013 : Candidatures au OFF ouvertes
jusqu’au 28 février 2013.
Bonjour à tous les
dentistes,
J'ai toutes mes dents à
refaire et j'organise un concours "dentiste coup
de coeur 2013". Pour y participer vous pouvez
me poser (gratuitement) un bridge, une couronne, un
implant ou me faire un blanchiment du 01/02/2013 au
31/12/2013.
Un jury composé des
membre de ma famille élira le dentiste gagnant chez
qui j'irai me faire soigner (en payant) mes caries
et faire mes détartrages en 2014.
La fiche de candidature
se trouve sur mon site: http://www.vive-les-off.com.
N'hésitez pas à joindre
au dossier de candidature vos diplomes, références,
vidéos, book etc...
Au plaisir de recevoir
vos devis gratuits
Ma famille et moi
Le 29 janvier 2013
13:21, Contact SASFE <
">
>
a écrit :
Bonjour à tous !
Pour la 13ème
édition qui aura lieu du
30 mai au 2 juin 2013 à Grenoble,
le festival Quartiers Libres recherche de nouveaux
spectacles d’art de rue pour sa programmation
OFF !
Durant le festival,
un concours est organisé afin d'élire le
spectacle "coup de cœur 2013" qui sera alors
programmé en IN en 2014 !
La fiche de
candidature à remplir se trouve sur le site du
festival : http://quartierslibres.fr/
N’hésitez pas à
joindre vidéos, photos, dossiers …
Au plaisir de
recevoir vos projets !
L'équipe de Quartiers
Libres
------------------
Festival Quartiers
Libres
97 galerie de
l’Arlequin – 38100 GRENOBLE
04.38.49.26.13
Pour acceder aux
archives, a l'aide, a la conversion de mail, a la
page de desinscription : http://www.cliclarue.info/#tabs-8
Et pour tout
probleme, vous pouvez raler aupres de
">
Pour acceder aux
archives, a l'aide, a la conversion de mail, a la
page de desinscription : http://www.cliclarue.info/#tabs-8
Et pour tout probleme, vous pouvez raler aupres de
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Contact diffusion
et production pour les compagnies
Chaise à porteurs/ Popol/ Mine de rien (France)/
Colette Gomette / Ratatouille Théâtre/ Cie du Hoquet
/Noah/ ULIK/
Cie 25 watts/ Adrian Schvarzstein/ Les Hommes
Papillons/
Cie Surprise/Cie Couronne
Racont'Art
Marie BERNOS
Arts de la rue / scène
http://www.racontart.net
">
TEL : 00 33 (0)4 67 24 04 96
Mobile : Marie : 00 33(0)6 16 67 70 64
SKYPE : BERNOS17
Face Book : racontart
17 Boulevard du Port
34140 MEZE (Montpellier)
N°Siret 442171195 00021
Code APE 9001Z
Licences d'entrepreneur de spectacles
2ème catégorie N° 2-1015449 et 3ème catégorie
N° 3-1015450 détenues par Marie Bernos
Racont'Art adhère à la Fédération des Arts de la
rue
Si vous désirez ne plus recevoir d'emails de
notre part, merci de répondre à celui-ci avec
"désinscription" en objet.
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Elodie
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Cie Progéniture
Festival Coulée Douce
Festival Thiais Village
La P'tite Dernière Avant l'Hiver
24 bis, rue du Gabon - 75012 Paris
T - 01 44 73 03 93
Mail -
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Site - http://progeniture.free.fr
Cie Progéniture
Festival Coulée Douce
Festival Thiais Village
La P'tite Dernière Avant l'Hiver
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