Dans le même esprit, je conseille à chacun-e de rester en alerte et de signaler par courrier/courriel adressé à la rédaction ou au médiateur de chaque support presse qui ferait tourner ces fausses informations sans se donner la peine de vérifier la véracité des propos qu'ils avancent.

Aucune attaque ne doit rester sans riposte et c'est d'abord les journalistes qu'il faut cibler. S'ils reçoivent des centaines de protestations à chaque papier ou chronique, ça les poussera tôt ou tard à creuser un peu leur sujet et à arrêter de dire et d'écrire des conneries.

J'ai adressé plusieurs courriels argumentés (référez vous au site CIP IDF, à la chaine parlementaire, mettez les liens, joignez les documents etc...) aux journalistes des Echos et à Dominique Seux de France Inter pour leur demander courtoisement mais fermement de mieux se documenter avant de s'exprimer sur ce sujet complexe.

Ils sont parait-il journalistes, qu'ils fassent correctement leur métier. On leur servira les arguments sur un plateau.

Nous sommes nombreux et notre nombre doit nous servir à autre chose qu'à nous convaincre entre nous que nous avons raison.

En nous renseignant et en préparant nos arguments, nous serons moins fragilisés et mieux préparés aux attaques sur notre position prétendument privilégiée.
Leurs arguments sont simplistes ? Opposons leur des contre arguments simples et intelligibles par un enfant de 12 ans (règle de base de la communication de masse).

Il faut prendre le temps de regarder les vidéos de la commission parlementaire avant qu'elles ne disparaissent
http://1wc.r.mailjet.com/redirect/mf06t84n9fzy61o1p92yrl/www.assemblee-nationale.fr/14/tribun/fiches_id/332305.asp

A chacun de s'armer et de se défendre pour défendre l'intérêt de tous !
Affutons nos esprits, fourbissons nos armes, cessons de nous caricaturer nous mêmes, apprenons à mieux informer les dénigreurs de tout acabit.

Commençons par la presse qui nous a snobé -et que nous avons snobé en retour- depuis les événements de 2003.

La riposte a commencé, elle doit être massive et déterminée.

Paco

Vous trouverez ci-dessous 2 liens avec 2 films Ripostes que nous venons de faire pour répondre au scandale de la désinformation sur le déficit de l’assurance chômage des intermittents du spectacle (Ripostes 1) et pour répondre à un reportage diffusé dans l’émission
“C dans l’air” où il y a une connerie toutes les 10 secondes.
Envoyez les par tous les moyens possibles, publiez sur facebook, etc etc
L’attaque est forte, il faut se défendre

Ripostes, Ep n°1 - Le déficit des annexes 8 et 10 des intermittents du spectacle n'existe pas.
Cela fait 10 ans déjà, en 2003, qu'une réforme de l'assurance-chômage des intermittents du spectacle a été décidée pour
répondre à un prétendu déficit.
Une nouvelle réforme s'annonce en 2013 et l'argument du déficit ressort...
Or ce déficit n'existe pas ! Démonstration.

Regardez ce film, publiez le sur votre compte Facebook si vous en avez un, diffusez, diffusez, diffusez !

http://1wc.r.mailjet.com/redirect/r113t0sv7z0b9frt7ksjvg/www.youtube.com/watch?v=tC9ifnAumLM

Ripostes, Ep n°2 - DésinTox

Un ciné-tract de la Coordination des Intermittents et Précaires d'IDF en réponse à l'émission C dans l'Air du 29 janvier 2013,
véritable intoxication une fois de plus sur les intermittents.

http://1wc.r.mailjet.com/redirect/4d8vt89x5plhyc2zwrt2cg/www.youtube.com/watch?v=HYhGvFSSRLA
 <http://1wc.r.mailjet.com/redirect/2qh7hdwhqzj3rohq5m8grd/www.youtube.com/watch?v=HYhGvFSSRLA> 

--
PACO BIALEK
Chargé de diffusion/production

Compagnie d'Elles Cirque en pièces - Toulouse

LA FUITE A CHEVAL TRES LOIN DANS LA VILLE
Nouvelle création 2014
c/o La Grainerie 61 rue St Jean 31130 Balma
www.compagnie-d-elles.fr
" target="_blank" href="mailto: ">
============
LA CELLULE
Motionhouse Dance Theatre - Angleterre (Dance Performances)
www.motionhouse.co.uk
Claire Ducreux - Barcelone (Solo de danse pour la rue)
www.claireducreux.com
Ping Pong Project - European Artistic Exchange
" target="_blank" href="mailto: "> - www.lacellule.fr
============
Tel : 0033(0) 561 596 581 / Gsm : 0033(0) 682 52 11 67
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