Avec la crise, le salarié de base a encore moins de tunes qu'avant. Donc encore moins la possibilité de se payer le in d'Aurillac. La Rue, outil de démocratisation de la culture par excellence, du fait de sa gratuité, est en train devenir un art destiné aux élites financières. Et la SACD applaudit un festival qui assassine la Rue? La crise n'est pas où l'on croit. Mais certains doivent plus rêver d'auréoles que de militantisme. Triste et amer constat. Bien à touTEs, Nicolas Soloy
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