Aux Accroches-Cœur, comparativement aux autres festivals, les mesures sécuritaires n’étaient pas trop ostentatoires. Quelques parades miliaires dans les rues certes mais pas de fouille ni de Vauban ou Héras partout, les voitures pouvaient circuler. Un dispositif qui a permis de garder l’esprit convivial et festif, contrairement à certains endroits où le mot festival est vidé de son sens dans la mesure où il n’est plus une fête. Au-delà des belles représentations de Tea Time ! (version anglaise de Café Frappé !) des Mobilettes que j’accompagnais, j’ai une le plaisir de croiser l’inénarrable Crazy Horse Guard joué par l‘impayable Franck Mouget du Muscle. Bonne journée à tous, François De :
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] De la part de Frédéric TIBERTI (
via rue Mailing List) Bonjour à tous, Absent des terrains de pratiques artistiques hors les murs depuis quelques années pour cause de vie à l'étranger et Outre-Mer, j'étais de retour en France et de passage à Angers, la semaine dernière. J'avoue qu'après lecture de nombre de commentaires sur les conditions d'encadrement sécuritaires des manifestations dans la Rue, je craignais ce retour au cœur d'un événement tel que Les Accroche-Cœurs. Il faut bien admettre que les forces de police ou autres troupes militaires étaient particulièrement discrètes, le week-end dernier à Angers. On pouvait également constater, comme l'indique l'article, quelques failles dans le maillage de la ville qui permettait la circulation automobile à de rares endroits. De là à considérer que le festival ait été perturbé par ces présences, je crois qu'il s'agit là d'un commentaire peu objectif...! Oui l'espace public était ouvert aux spectacles, oui les spectateurs pouvaient circuler en sécurité dans la ville et oui quelques véhicules pouvaient ici ou là, parcourir quelques centaines de mètres sur le bitume. La présence de ces différentes composantes m'ont plutôt donné l'impression d'une ville qui vit, où les uns et les autres ont pu cohabiter en bonne intelligence et dans une certaine liberté. C'est sans doute la rencontre de ces différentes composantes qui a permis à la ville de garder son âme alors que le Festival en lui-même a parfois eu du mal à imposer la sienne... Voilà pour moi, je m'en retourne à mes petites affaires africaines ! Frédéric Le 14 septembre 2017 à 06:06, Claude Morizur <
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> a écrit : Bonjourbonjour La Rue,Lu dans OFrance Angers, ce billet qui remet en cause le choix de la municipalité qui n’a pas daigné fermer son centre-ville à ses chères voitures mettant ainsi en danger les piétons festivaliers. Preuve s'il en manquait du 2 poids /2 mesures qui règne en matière de sureté. Quand on pense par exemple aux exigences visiblement manifestées par la Préfecture du Cantal auprès de la ville d'Aurillac ... D'autres échos d'Angers sur cette liste ? Accroche-cœurs. À Angers, des arts de la rue… mais pas trop
Pour les Accroche-cœurs, les spectacles investissent la rue. Enfin, ce qu’il en reste. La municipalité n’a pas daigné fermer son centre-ville aux chères voitures. Dommage. BilletC’est une évidence. Les Accroche-Cœurs 2017 ont dû affronter les éléments. Chagrine, la 19e édition a été arrosée par les averses. Elle s’est pris d’autres vents de face. À commencer par l’absurdité de certains choix. En particulier en matière de circulation routière. Électorat sur quatre rouesSecret de polichinelle, la municipalité taille la part belle aux voitures. Au printemps 2014, l’extension à une heure de la gratuité des parkings n’a-t-elle pas été le premier signal envoyé par le maire LR Christophe Béchu à son électorat sur quatre roues ? On pourrait parler des zones qui n’ont de « 30 » que le nom. Des voies piétonnes régulièrement envahies par les automobilistes (y compris sur les axes réservés au tramway, rues de La Roë et d’Alsace). Ou du « stationnement-trottoir », sport local rarement verbalisé. Pas de centre-ville sanctuariséOn pouvait espérer qu’un week-end dans l’année, un festival des arts de la rue la ferme justement à la circulation. Que l’hyper-centre soit totalement sanctuarisé. Quelle idée ! Pourquoi priver les riverains d’un petit drive-in ? Pour les Accroche-Cœurs ? Certainement pas ! Douceur angevine aux gaz d’échappementAngers a préféré offrir le spectacle d’une ville ouverte… aux voitures. Les touristes apprécieront cette douceur angevine, renforcée aux gaz d’échappement. Les enfants n’avaient qu’à bien se tenir. Et surtout à éviter, par endroits, les conducteurs chauffés par ces piétons impertinents en dehors des clous. La rue du Mail rouverte aux voitures pour l’occasionLe clou du spectacle ? Il a été partagé par deux sites. Au carrefour Rameau, à l’entrée de la place du Ralliement, où deux camions-bennes fermaient l’accès, par mesure de sécurité, attentats obligent. Dérisoire : les rues Baudrière et Plantagenêt, roulaient comme aux plus beaux jours. L’autre bizarrerie concernait la rue du Mail… rouverte après travaux. Spécialement pour les Accroche-Cœurs. Chapeau bas. Comme chantait Supertramp, It’s raining again. A votre écoute, Claude Morizur
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