Nous pouvons lire sur les réseaux sociaux que la directrice du off d'Aurillac aurait exercé " le pire job des arts de la rue ".
Qu'est-ce qui est pire ? Les compagnies ? La ville ?
Est-ce pire que de nettoyer les chiottes d'un cnar ? Est-ce pire que de fouiller les punks ?
L'acceptation de ce poste n'était-elle pas en connaissance de cause ?
Est-ce une raison pour attribuer sans concertation aux compagnies les pires endroits de la ville ?
Alors que nous fêtons les 50 ans de mai 68, nous ne pourrons pas dire que l'imagination aura été au pouvoir ces cinq dernières années dans l'organisation du off d'Aurillac.
Vivement la nouvelle aire de jeu.
Bonne journée,
François