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| Visionner la vidéo d'introduction de Dalila Boitaud Mazaudier
« J’ai pris la langue française, je lui ai fait l’amour et de cette union sont nés de merveilleux bâtards » René Depestre
« La langue française, vieille langue de mélanges et de rencontres grâce à tous ses locuteurs, où qu’ils soient et d’où qu’ils viennent, peut devenir une terre d’accueil et d’universalité. Il ne s’agit pas de rayonnement, ni de puissance. Quelle civilisation s’arrogerait le droit d’être le soleil de l’univers? Les cultures du monde forment un firmament où chaque astre a sa place et participe à l’ensemble de la douce lumière cosmique » Édouard Glissant
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| 8 et 9 octobre dans la cour du café associatif Le Pourquoi pas ? à Bordeaux. C’est le FAB qui tient la barre contre vents et marées. Quatre représentations Nous sommes contraints d’annuler les représentations scolaires, comble d’une situation sans fin lorsqu’il s’agit d’un spectacle écrit pour les enfants… |
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| Mais nous jouons, mesurant tout à fait la chance qui est la nôtre dans ce contexte étouffant. Et enfin, nous parlons d’« autre chose ». De ce qui fait de nous des hommes, de ce qui fait du commun dans nos histoires chavirées.
Nous portons cette parole en mémoire des tutsi du Rwanda, nous la dressons comme un rempart à la haine de l’autre, comme une barricade contre l’amnésie. « TOUT DÉPEND DU NOMBRE DE VACHES » renouvelle le langage de nos mémoires. |
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| Un immense merci à l’équipe du FAB et à l’OARA pour leur persévérance et leur accompagnement de chaque instant. |
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| Ecoutez la lecture de Tout Dépend du Nombre de Vaches par la Compagnie Uz et Coutumes à travers quatre épisodes à retrouver en accès libre sur notre site. |
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| Rendez-vous au printemps sur les routes et dans les champs… Comme pour beaucoup d’entre nous, l’incertitude voile encore les horizons à construire… |
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| "Pour l’instant c’est l’état du vocabulaire qui a pris les coups. Nous rabâchons de bouches en oreilles les mêmes mots qui colonisent puis saturent l’espace de la pensée. Nous allumons machinalement des radios qui crachent en boucles raides des verbes, des adjectifs, des syntaxes et des grammaires qui jusque-là n’existaient que rarement, poétiquement parfois dans l’éclatement pluriel, ou alors historiquement dans le marquage au fer des époques les plus sombres. Le contexte a imposé la tournure des phrases et du monde jusqu’à la nausée de l’esprit..." |
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| Cie Uz et Coutumes 4 rue Faza 33730 Uzeste
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