Voici bientôt un an que le spectacle vivant est sur la touche, interdit de s'exprimer en public, contraint de se taire, non essentiel. Les arts de la rue ne sont pas épargnés, parqués en erp quand ils ne sont pas empêchés. Nous voyons les annonces défiler chaque semaine, les festivals emblématiques ne seront pas des grands rassemblement artistiques et populaires en 2021, pour la deuxième année consécutive. Alors, après avoir joué les bons élèves, obéit aux consignes, aussi absurdes soient-elles, le besoin de liberté et d’équité commence à bouillir et à soulever le couvercle. Partout les initiatives individuelles et collectives fleurissent. La ministre de la culture a annoncé un printemps inexorable, sans donner de date. Les actes valent mieux que tous les dossiers de conventionnement réunis. Sans aucun doute, les techniciens du ministère y sont très attentifs. « Quoi qu’il en coûte » ne les décevons pas, soyons à la hauteur. Ainsi, en parallèle aux actions menées par les syndicats, CGT, SCC…, pour l’application des décrets et le respect des droits sociaux, voici un florilège non exhaustif d'Edelweiss, à compléter. A Limoges, À Nantes, A Granville, A Bordeaux, A Cholet,
Et mention spéciale à HK et ses amis, militants de la première heure ou lapins de trois semaines, qui chantent et dansent encore sur les places partout en France et ne lâchent rien. Comme ici à Sarlat, mais aussi à Marseille, Narbonne, Amiens, Metz, Troyes, Avignon, Bergerac… Bonne soirée, à suivre, François Ps : Et sinon, il y a un an, Les Wampas, toujours éveillées sur la scène du Bikini. |
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