Alors que Gérald Darmanin, ministre de l'Interieur, serait sur le point de demander aux députés la dissolution des Berurier Noir et que l'Abattoir municipal de Chalon dans la rue grillagée attend la nomination, par monsieur le maire ?, d'une nouvelle direction, Stéphanie Ruffier, enseignante chercheuse en arts de l'espace public, maintien ouvertes les portes de la réflexion. Voici son appel publié sur les réseaux sociaux : " Salut les arts de la rue ! 🧨appel à témoignages 🧨 En vue d’une discussion publique « Arts de la rue : s’adapter jusqu’où? Résilience ? Résistance ? » qui ferait écho aux récents échanges à Chalon, Aurillac, Hendaye, sur les listes « rue » et ailleurs, j’aimerais que des artistes et des compagnies me racontent comment elles et ils pensent, agissent, (se) transforment depuis la crise Covid. Adaptation du spectacle - à la marge, petites ruses, gros renoncement -, changement de forme, modification de la relation au public, dilemmes éthique, poétique, esthétique, politique, doux ou violent reniement, réaction à des demandes ubuesques, interdictions… Comment vous êtes-vous adapté.e.s ou pas ? " Résilience ou résistance : comment continuer à créer aujourd'hui ? Que reste-t-il de "l'esprit rue" ? Spectacles dans des lieux clos, déambulations contraintes, mesures sécuritaires et sanitaires, etc., la marge de manœuvre semble de plus en plus réduite. Comment s'adapter, et jusqu'où, à des règles du jeu sans cesse mouvantes ? Participez avec nous à la réflexion : https://www.facebook.com/1487684962/posts/10221530544321467/ Et Hop : https://youtu.be/8LGliBxcSAE Bonne journée, François |
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