Troll troll troll...

Perso je ne répondrais plus à cette personne...

4 mails en une petite heure... 

Troll troll troll ... 

Le mar. 13 sept. 2022 à 08:25, Frédéric Roucheray < "> > a écrit :

Selon l’aimable consentement de mon pote Raptor, je ne résiste pas à vous partager sa prose à laquelle j’ai été autorisé à contextualiser le propos.

 

Les mecs ont réalisé depuis une dizaine d’années, que se revendiquer féministe, social justice warrior et politiquement correct c’était le meilleur moyen pour faire carrière, bien se faire voir et ne pas avoir d’emmerde, particulièrement dans le secteur culturel. Et donc ni une ni deux, il se sont transformés en Prince Charming pourfendeur de vilains misogynes virilistes ou je ne sais quoi apportant la sainte parole de girl power, women empowerment et toutes ces conneries abyssales visant à assouvir uniquement les volontés carriéristes des féministes 2.0 trop médiocres et jalouses pour affronter la concurrence du marché du travail qui devrait se baser sur tout autre chose que sur le sexe et les orientations politiques, selon la réglementation en vigueur.

 

Tout le monde sait que depuis le collège il suffit d’être un lèche-cul pour avoir des bonnes notes à l’oral, mais ces fanatisés qui sont prêts à s'asseoir sur leur dignité et leur morale pour trouver du boulot ne surprend plus personne. Et ce ne sont pas leurs résultats négatifs aux tests hormonaux, qui ont tout de même réalisés l’exploit d’avoir moins de testostérone qu’un homme de 90 ans survivant du cancer de la prostate, qui vont nous faire dire le contraire. Reste des hommes-soja qui dans leur milieu professionnel se la joue progressiste, super féministe, l’excellence humaine n’ayons pas peur des mots. Qui en secret se foutent ouvertement de la gueule des chieuses avec qui ils bossent. He oui, les mecs qui font le plus la morale aux autres sont souvent les plus gros connards du game. Qui ne s’est jamais foutu de la gueule de ses collègues ou camarades derrière leurs dos. Absolument tout le monde chie sur tout le monde. Il doit y avoir des millions de groupes wathsapp FB uniquement dédié à insulter sa classe ou sa boite. Et ce n’est pas la peine de nous parler de masculinité toxique ou de boys band parce que ce n’est certainement pas les meufs qui vont faire la leçon à qui que ce soit là-dessus. Si dauber dans le dos des gens était un sport, pour une fois une équipe féminine aurait du niveau. Et c’est pas Leïla Amini qui dira le contraire ! Le vrai truc c’est que ces sales petits hypocrites on fait une chasse aux sorcières à qui n’est pas suffisamment politiquement correcte selon leurs critères d’hommes soja. Et ironie et puissance du karma divin ces petits cons qui ont passé leur vie à dénoncer la grossophobie et le famoso patriarcat systémique ont creusés pendant tout ce temps leur propre trou puisque c’est maintenant avec un grand plaisir qu’ils vont pouvoir goûter à l’empowerment au féminin bien dans leur gueules d’hommes-soja. Mais c’est surtout une occasion pour les folles alliées de nous rabâcher une fois de plus des inepties concernant les différences de salaires homme/femme qui est une arnaque totale et nous seriner avec les quotas favorisant et imposant des femmes dans le monde du travail et la récompense artistique. Mais ne vous y trompez pas, il s’agit bien de discrimination positive et c’est le moment d’expliquer que la discrimination positive est une aberration et un holdup motivé par l’envie et la jalousie.

 

En fait, il n’y a que les timbrés féministes pour croire que la surreprésentation des hommes dans un domaine et uniquement à certains postes est forcément le résultat d’une discrimination tandis qu’elles ne soucient aucunement de la réciproque. Ces pratiques sont une insulte envers les H ou les F qui sont arrivés là par leur travail, leur compétence, leur aspiration et choix personnel qui doivent être respectés. Il n’y a rien de mal à ce que les femmes soient attirées par certains domaines en particulier qui intéressent moins les hommes et inversement. Prétendre le contraire ou essayer d’expliquer ces choix par la construction sociale est un mensonge comme l’a prouvé l’exemple de la Norvège avec ses 90% d’infirmières femmes et 90% d’ingénieurs hommes malgré une politique très féministe qui visait justement à casser les stéréotypes de genre.

 

Le nombre de place étant limitées, la discrimination positive d’un groupe revient à le favoriser au détriment d’un autre, donc à créer une nouvelle discrimination. Mais ça les féministes s’en tamponnent totalement. Si on applique la discrimination positive pour les femmes ou tout autre catégorie en croyant résoudre un certain manque d’égalité réel on déplace injustement le critère de la sélection de la compétence vers l’appartenance à une catégorie et donc on condamne définitivement la personne favorisée d’être à jamais dans l’esprit des autres celle qui est arrivé grâce aux quotas et non grâce à ces compétences. C’est-à-dire qu’on la stigmatise. La discrimination positive est en réalité un énorme mépris pour les femmes puisque on considère qu’elles sont incapables sans coup de pression sur les autres d’arriver au même niveau. On comprend alors mieux pourquoi les petites pestes médiocres, jalouses et carriéristes sont particulièrement dévouées à la cause. Par contre, étonnamment aucune d’entre elles n’a jamais été intéressée par la parité chez les éboueurs ou dans les métiers physiquement pénibles ou très risqués, pas plus que d’inviter à la parité dans les métiers féminisés comme le marketing, la santé, les ressources humaines ou les juges des affaires familiales. En définitive, nous avons affaire à une idéologie totalitaire basée sur des raisonnements dangereux qui considèrent que l’homme représente la classe dominante qui a usurpé sa place et spolié les femmes et doit être remis en place par la justice sociale. Exactement, comme dans les 30’s avec ce qu’on appelait poliment la question juive…

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Frédéric Roucheray

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