Triste nouvelle que j'apprends là, j'aimais bien Jacques, nous avions plaisir à échanger et à blaguer. Entre autres souvenirs, nous nous étions retrouvés pris sous les gaz lacrymogènes fortement dosés dans le jardin des Carmes au festival d'Aurillac en 2016, alors que la gendarmerie tirait sans retenue aucune des grenades sur les artistes, le public, les professionnels, les festivaliers et les habitants pour faire respecter le vivre ensemble. Salut à toi cher Jacques. François |
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