Article intéressant et édifiant, à noter un écart des pratiques et donc d’impact entre le show-biz et les industries culturelles, et les artisans. Ceci dit, chacun.e est concerné et impacté à son niveau. Merci Pierre. Excepté quelques gros festivals migratoires, les arts de rue proposent globalement au public un accès de proximité. Certes les zones rurales ne sont pas toujours accessibles en transports en commun ou par pistes cyclables. Les éco-cup et les lentilles bio du catering ne compensent pas suffisamment. Comment concilier réduction de l’empreinte sans freiner la circulation des œuvres ? L’exemple venant rarement d’en haut, je propose de commencer par virer ceux qui nous gouvernent. D’autres propositions ? A suivre, François De :
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> De la part de Pierre Bonnaud (
via rue Mailing List) Bonjour tout le monde, En ce temps de Bis à Nantes, mais aussi de façon beaucoup plus large, voici un article du site Bon Pote qui pose une question pertinente : peut-on séparer le bilan carbone de l’artiste ? Ça chauffe partout, dans les méninges et ailleurs, du coup on fait quoi ? Bonne lecture, Pierre |
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