Cacahuète, Générik, les Plasticiens volants, Kumulus et bien d’autres compagnies ont marqué les esprits à Libourne. Depuis le maire a changé, les ministres ont changé, l’époque a changé, la place Abel Surchamp et la bourgeoisie n’ont pas changé, Fest’arts d’aujourd’hui n’est pas le Fest’arts des années 90-2000, mais Fest’arts est toujours là et garde le cap malgré les contraintes budgétaires, sécuritaires, préfectorales. Cette année la météo s’annonce favorable, la chaleur ne sera pas suffocante comme c’est souvent le cas dans cette bastide minérale.
Dominique n’est pas loin, retraité toujours actif dans le fronsadais et organisateur d’un festival qu’il a créé à La Rivière. Il vient à Fest’Arts en voisin et spectateur.
La nostalgie camarade, quel beau souvenir que la carte blanche donnée à Cacahuète en 2011
François
« Du lard ou du cochon ? ». « Posons le décor. Une cage, tout d’abord, érigée place Abel-Surchamp. À l’intérieur, une tribu, à la peau charbon, crânes bosselés et yeux rougis. Repoussante. Hommes, femmes et enfant se dandinent sur des lambeaux de chambres à air, se suspendent aux barreaux et poussent parfois des cris stridents. Pendant près de quatre heures, au pic du soleil, les Libournais qui défilent devant ce spectacle vont hésiter entre le doute et la crédulité », écrit le journaliste. La présence d’un enfant au sein de ce spectacle déclenchera l’ire de la Ligue des droits de l’Homme. Sans oublier la réaction outrée de « la bourgeoisie libournaise, de la droite et de toute l’opposition », se souvient Dominique Beyly.
« Les Squams », Fest’Arts 1992.
De :
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> De la part de Pascal Larderet (
via rue Mailing List)
Fest'arts Libourne, Bon programme pas cher plus de grand spectacle de rue à Libourne comme souvent ailleurs . Dominique revient par pitié . Pascal Larderet et Cacahuete qui ont tant de souvenirs heureux dans cette ville
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