D'ailleurs quand elle a su que j’écrivais sur la liste rue, elle m'a volé dans les plumes plus rapidement qu'un ancien sur son amour-propre.

"T'es débile où quoi d'agresser les vieux briscards de la liste comme ça et puis si t'as besoin d'eux à un moment ben là c'est râpé et pour longtemps."

La, je lui rétorque que j'ai juste signé GO et que ça passerai. Alzheimer est pas trop loin.
Au pire je récolte le mépris, l'indifférence au mieux ben y te lise, deviennent soit tes amis, soit tes ennemis, te compare a Fred Toush, te dise que c'est bien écrit.

Là elle m'a mis une tarte.

De ce fait, j'ai pris mes tripes dans mes mains et je suis ressorti pour écraser ma fougue et ma nonchalance qui m'habite.

De toute façon personne me connais.

La dernière phrase de mon courriel "Je crois qu'il va falloir les butter."  comporte deux problèmes

L'une est une faute et l'autre est une erreur de frappe. 

La faute, c'est que butter ça s’écrit avec un seul T et la frappe c'est que c'est Bouter qui aurait dû apparaître.

Je ne me vois pas assassiner froidement nos sages comme ça ou alors je les aurai butté joliment sur un parterre composé de magnifiques glycines.

Y a comme même de bonne caricature qui se sont dessinées.

Le jeune se voit infantilisé, de préférence aigri avec un besoin de reconnaissance patent. Il reste accroché à ses tripes, aurait sa créativité et son art de bousculer les principes comme atout.

La personnes âgées serait une grosse machine, expérimenté, qui gagnerai en liberté au fur du temps qui passe.

Elle deviendrai un mentor, un référent à beaucoup de gens. Elle serai aussi capable de  complaisante à l’égard des jeunes.

Sans oublier le plus important elle a besoin de toi mais t'as surtout besoin d'eux.
C'est sure que maintenant y a des CNAR, une fédération nationale, des fédés régionales  la faiar....de grandes possibilités

N’empêche qu'il va falloir encore falloir élargir tout ça.

Sinon l'idée d'un gang de jeunes qui abat les vieux me parait pas mal du tout.

Y a un coté rentre dedans, si les vieux en place bougent pas, tu tires.

 

A bas l'immobilier, vive les champs.