Tout a fait d accord avec vous, mais...

Et si vous commenciez deja par montrer que vous etes capables d inverser la tendance en restaurant les contrats aides !

Je vous suivrais n importe ou pour reclamer tout ce que vous voulez ensuite.

Se laisser tondre en revant et reclamant un manteau de fourrure n a jamais adouci l hivers...

je me trompe d ennemis ?

(Ceci dit sans animosite contre vous, les courageux qui ont dit ce qu ils souhaitaient partager, nous devrions avoir les memes envies de victoire et d union...).

Chercher de petites victoires emblematiques, faire connaitre les particularités et difficultés des arts de la rue, c est faire gagner tout le monde.

(Il me semble)

A suivre...

Le 7 sept. 2017 06:34, "Corinne PAIN" < " target="_blank"> > a écrit :

 

Entendu de la présidente des restau du coeur de Grenoble à la radio dimanche concernant les emplois aides mis en péril dans sa structure "il faut que l'on trouve le moyen de péréniser nos emplois" ok pérénisons la misère ... et bien on en est là la misère doit être rentable sinon on aide plus.... c'est à l'état de prendre ses responsabilités sur la question de la pauvreté grandissante... pas aux associations privés de devenir rentable sur des questions comme celle-là

retenir les contrats aidés c'est une fuite en avant vers toujours plus de précarité... à force de rustines en tout genre on se dégonfle non ?...

 

 

 

> Message du 07/09/17 12:12
> De : "François Mary" < " target="_blank"> >
> A : " target="_blank">
> Copie à :
> Objet : RE: [rue] Pourquoi je ne signerai pas: Macron, rends les contrats aidés !

>
>

Merci pour ta prise de parole Manon, d’accord avec toi. Les emplois jeunes, les emplois aidés sont une concurrence déloyale aux vrais emplois, dont les seuls bénéficiaires sont les employeurs. De la même façon, en 2006, la rue a rejeté le cpe.

Bien à vous,

François

 

De : " target="_blank"> [mailto: " target="_blank">rue-request@cliclarue.info] De la part de mona roche
> Envoyé : jeudi 7 septembre 2017 11:42
> À : " target="_blank">
> Objet : [rue] Pourquoi je ne signerai pas: Macron, rends les contrats aidés !

 

> Bonjour,

> Toute petite contribution. Pourquoi je ne signerai pas cette pétition et pourquoi je considère que nous nous trompons de bataille.

> J'ai été moi-même employée sous contrat aidé, bien évidemment. En tant qu'élue, j'ai aussi employé des personnes sous contrats aidés. Qu'en est-il ?

> Tous d'abord une déconsidération de la part de certain-es. Une personne sous  contrat aidé est une personne qui n'a pas de compétence professionnelle, qui est inadaptée et qui est seule responsable de son échec professionnel, donc social. On sait combien ces affirmations sont fausses, je ne développerai pas.

> Ensuite, un contrat aidé c'est une baisse drastique du salaire minimum, les charges patronales étant une partie du salaire socialisé. C'est une atteinte à nos droits collectifs, la mise à mort consciente et voulue des caisses de solidarité que sont la sécurité sociale, la retraite, le chômage, etc. Il en est de même pour les bas salaires, sur certains contrats, depuis 2012 la contribution patronale a baissé d'un tiers (au moins), les cotisations salariales sont plus importantes que les cotisations patronales.

> Nous sommes en train de perdre les avancées qu'ont acquis les personnes qui se sont battues il y a des décennies. Pourtant leur période n'était pas plus amène que la nôtre, les violences d'état, les attaques du patronat, toutes aussi virulentes.

> Nous devrions plutôt nous battre pour la reconnaissance vitale du gain que représente les actions culturelles, sociales, écologiques et qui devraient être soutenues par l'état, la collectivité. Reconnaître les effets néfastes, donc les pertes, que constituent certaines activités économiques, même si elles dégagent des bénéfices financiers.

> Nous devrions être heureux -ses de la disparition de ces mesures, en réalité délétères. Nous devrions exiger de meilleurs salaires, plus de solidarité, de meilleure condition de vie. Mais rien n'a jamais été acquis sans se battre.

> Cordialement,

Mona Roche

Chargée de diffusion

Yeraz Compagnie

33 (0) 6 84 54 72 38

Le 06/09/2017 à 21:38, benoitpiel a écrit :

pétition à l'initiative du journal Fakir et de François Ruffin 

dont le parcours jusqu'à la députation est aussi génial que modeste

 

Et parce que les contrats aidés concernent pas mal de structures dans le genre compagnies de théâtre...

 

Ce coup des emploi aidés (200 000 qui sautent tout de même) + la baisse des dotations aux colec territoriales, on pourrait croire à une espèce de guerre contre ceux qui font les choses pour d'autres raisons que l'argent?

par exemple l'associatif, le culturel de proximité sous toutes ses formes, le caritatif ect...

 

Bon, je dois être complotiste mais signez quand même, ça mange pas de pain comme on dit

 

Biz

B

 

 

Début du message réexpédié :

>
>

De : Fakir < " target="_blank"> >

Date : 6 septembre 2017 19:14:19 HAEC

À : " target="_blank">

Objet : Macron, rends les contrats aidés !

Répondre à : Fakir < " target="_blank"> >

>
>

Voir dans le navigateur     Salut les Fakiriennes, salut les Fakiriens !  On relaie ici la pétition qu'a lancé le redac'chef-député (on sait plus dans quel sens le dire), inondé de ses administrés dont les contrats aidés ont sauté pendant l'été. Une petite signature (ça demande pas grand chose), et pour les plus courageux, vous imprimez le fichier (en ligne) et vous rabattez en porte-à-porte chez voisins, assos, familles, collègues, écoles, etc. !  Notre prochain numéro sort bientôt (Sanofi...), mais on vous en dira plus un peu plus tard !  Amitiés picardes, L'équipe     Macron, rends les contrats aidés !   Des associations, des Ehpad, des collectivités locales, des écoles se retrouvent au pied du mur car Macron et son gouvernement ont décidé d’arrêter le mécanisme des emplois aidés (CEA-CUI). Mais, au-delà de ces structures fragilisées, ce sont des milliers de personnes qui se retrouvent sans emploi. Plus de 200 000 en France. Le gouvernement se défend en disant que les emplois aidés ne sont pas suffisamment efficaces. Mais, aujourd’hui, il ne propose rien pour remplacer ces contrats, dont il faudrait plutôt combattre la précarité. Nous refusons que le gouvernement vienne faire de minables économies sur le dos des plus faibles.   Je signe !       Regarder la vidéo explicative     Journal Fakir 4 rue Blanquetaque 80000 Amiens " target="_blank">     Se désabonner

 

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