Salut, c'est Franck de Bourgogne.
Hé ben, ça y est... yzon réussi à m'énerver !
Et Vieux sait que c'est de plus en plus difficile... depuis que je me suis auto-persuadé que j'étais devenu "metteur en zen"...
Lire dès 7H30 du mat' que les chargés de diff' font la pluie et le beau temps, j'en suis tombé de mon plum'art !
Bon... je me doute que Pascal et son art consommé de la provocation' ont ainsi joué leur rôle de gratte-cul, mais tout de même !...
Pour quelques têtes de pont, combien d'anonymes, de "sans-grades" (j'utilise ce terme à dessein), de "téléphonistes-courrielleuses-accrocheurs du quotidien" ?
Parce que "chargé de diff'", c'est quand même un métier d'une difficulté incroyable, où il faut savoir forcer des portes blindées, passer par d'improbables meurtrières, déployer des trésors de persuasion, raconter les mille-et-une-nuits en 38 secondes-chrono,... Bref, un boulot trop, mais trop... et où il ne faut pas faire dodo, ni s'endormir sur des lauriers flétris, que personne n'aurait d'ailleurs songé à vous tresser, juste à vous stresser !
Le chargé de diff' est isolé dans son sacerdoce, parfois même hors-le-champ de la compagnie qu'il sert, bossant à la maison pour ne pas avoir le directeur artistique, la prod' ou le metteur en scène sur le dos, lesquels assoient p n'a qu'une seule idée : "combien t'en a vendu cette semaine ?"
Le chargé de diff' n'est même pas une appellation reconnue dans le