entre les intermittentes et les autres, aucune solution de gel, ni de report de date, ne permettra s’il n’y a pas une garantie de salaires totale sur les dates annulées, de garantir que personne ne se retrouvera le bec dans l’eau (et c’est impossible vu que beaucoup de ces dates ne pourront être prouvées) la seule option que nous devrions demandé de toute nos forces, c’est renouvellement automatique des dossiers arrivés en fin de droits, sans condition de justification d’heure, avec maintien de l’ARE au même taux, et si le dossier permettait une augmentation, recalcul en faveur du chômeur ce qui laissera un an pour analyser, étudier l’impact de tout ça et avoir le temps de penser les mesures de compensation aux structures. ouverture de droits pour les nouveaux arrivants avec un seuil réduit. (annexe 8 10 mais peut se faire au niveau du régime général, en demandant une ARE basée sur le système des droits rechargeables pré novembre 2019) on trouve 300 milliards pour les prêts bancaires, mais on est pas capable de demander un efforts qui en fait n’en est pas un pour les chômeurs? leur assurer une situation sociale stable sur une longue période évitera la chaine de dégringolade en cascade qui ne manquerait pas de suivre le confinement. il en va de même pour les artistes femmes enceintes, qui voient les dates prévues avant congés maternités à venir disparues. ouverture systématique des droits sur la base de l’ARE déjà obtenue ou allongement de la période de référence pour disposer des cachets nécessaires. on critique le gouvernement de ne prendre que des demi mesures défendons nous des mesures fortes et pour tous et toutes. sans tergiverser. david cherpin
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