Le 13 sept. 2022 à 12:47, Frédéric Roucheray ( " class=""> via rue Mailing List) < " class=""> > a écrit :

"MAIS JUSTE TA GUEULE MEC !!! "

Mais qui te dis que je suis un mec ?

Il ne faut pas confondre identité de genre et _expression_ de genre sinon on va mal partir. Je trouve que tu me mégenre et c'est pas très agréable. 

Tu ne peux pas savoir comment je me sens dans mon ressenti. Il t'es pas venu à l'esprit que je pouvais me resentir non binaire ou comme une femme noire ? 

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Frédéric Roucheray

Il est passé par ici

Le mar. 13 sept. 2022 à 09:48, Cecile Hanriot < " class=""> > a écrit :

RHOOOO PUTAINNNNNN MAIS JUSTE TA GUEULE MEC !!! 

tu nous pourri la liste Rue !!

#fermetagrandegueule

Le mar. 13 sept. 2022 à 07:34, Frédéric Roucheray < " target="_blank" class=""> > a écrit :

Dans notre secteur, de gauche, d’un néofeminisme embrigadé, chacun à des sub à picorer, un spectacle à vendre, un programmateur à séduire, un buffet à picorer, une reconnaissance à atteindre, un poste à briguer, un idéalisme à se targuer, une carrière à constituer que chacun se tait devant le terrorisme misandre gynocentré. Au point que cette liste et notre secteur en est devenue la soupe mièvre et veule d’un conformisme sans fond, avec pour seule consistance celle de raconter sa life, de liker ou disliker.

Ces alliés nés, des pleutres déconstruits, viendront se glorifier d’être les défenseurs des plus faibles et des minorités à coups de manifestives sans aucun autre souci d’efficience que le plaisir de se retrouver dans un embrigadement clanique à festoyer de leurs complaintes rien-pensantes, avant et après leur silence assourdissant d’une lutte sociale d’éborgnés et des mains arrachées. Sans jamais reconnaître qu’ils sont les bouffons du roi, dans la même logique qu’un Olivier Py : Applaudisser ma reconnaissance politique et légitimer mon argent public !

 

À l’instar des universitaires, ces cultureux auront appris à singer les postures et user de verbiage creux qu’ils ne comprennent pas eux-mêmes afin de paraître et de faire partie du clan ; à défaut de réfléchir contre soi et par eux-mêmes. Ces hypocrites sont à la course d’être les premiers à s’offusquer publiquement de quelques impertinences qui viendraient chatouiller leur remise en question en dénonçant les grossièretés qu’ils s’accordent à eux même. Pire encore, ces pleutres endoctriné.e.s en viennent à jouir pour se venger en se cachant derrière la bouche d’égout de la plus ordurière des connasses néofem : Virginie Despentes, de loin la meilleure incarnation de la plus putassière des bourgeoises punks médiatiques. À redécouvrir sous la plume de Chloé des Lys.

 

Ces crédules, ou ces ignares, auront la bêtise de se pavaner de moraline et de scientificité :

« Sur le patriarcat comme concept, on pourra lire Silvia Federici, une chercheuse très pointue. » JJ Delphour

« Il faut avoir l’honnêteté intellectuelle de lire un minimum avant de répondre n’importe quoi … La relecture de l’histoire de Silvia Federici, pour ne citer qu’elle » P de Valette

Afin de justifier comme preuve historique, les bobards psychotiques de la lesbienne misandre Sylvia Fédérici, qui n’est qu’une faussairede l’Histoire, l’archétype des pseudo-sciences du wokistan. Les néofem sont des bouses en Histoire ! Et pour peu qu’on s’y penche, le chancre des supercheries scientifiques en toutes matières.

Puis de glorifier les élucubrations néofem de la bouche en cœur de Mona Chollet, une journaliste essayiste, attachée à aucun contrôle scientifique qui a eu l’idée originale de surfer la vague Harry Potter en déblatérant tout ce qu’elle a pu glaner de clichés et de références radical féministe pour son recueil de propagande tissé d’impensées personnelles et de sur-interprétations et de propos non sourcés, dans le but d’illustrer la thèse de S.Federici. Alors que son militantisme n’est que filon commercial sur lit d’âneries et paresse intellectuelle. Une caricature de la dingue, complet parano, percluse de névroses que ne masquent pas ses écrits et encore moins son langage corporel dont le cas relève de la psychiatrie.

 

« Par bien des aspects, je suis stupide.

En toutes circonstances, et depuis toujours, s’il s’agit de poser une question idiote, ou de faire une réponse totalement à côté de la plaque à une question, ou de formuler un commentaire absurde, à tous les coups je suis la femme de la situation. Il m’arrive de surprendre un regard incrédule posé sur moi et de deviner ce que cette personne est en train de se dire : « pourtant il paraît qu’elle écrit des livres… » ou « la vache, ils engagent vraiment n’importe qui, au Monde diplomatique… ». J’en retire le même sentiment de honte que si j’avais trébuché et effectué un vol plané avant de m’écraser au sol sous les yeux d’une assemblée ébahie (chose que, par ailleurs, je suis parfaitement capable de faire aussi). » (Sorcière, la puissance invaincue des femmes, p. 177)

Faut-il vraiment aller plus loin ?

 

Sa maison d’édition ne lui programmera aucun débat contradictoire ni le moindre arrêt maladie, mais une foultitude de micros acquis à l’idéologie jusque devant une jeunesse qui ne connait rien de la vie, déjà déconstruite et convertie au discours victimaire, où elle reconnaît elle-même être névrosée, à 20:00, sans que ça suscite la moindre interrogation sur l’éventualité que son idéologie misandre et hétérophobe puisse en être la cause.

Après nous avoir vanté les mérites de la femme moderne à travers l’égérie d’une caricature de sorcière d’un autre siècle à la fois victime absolue, celle pour qui on réclame justice, et la rebelle obstinée et insaisissable, elle viendra nous servir « Réinventer l’amour ». Pas moins que ça ! La prophète qui se prenait pour dieu. Si seulement elle avait commencé à tenter de comprendre ce qu’est l’amour et à l’apprivoiser, ça lui aurait évité de prétendre d’une chose qu’elle est bien loin d’incarner autant que de paraître comme le fantôme d’elle-même. Un ouvrage au sous-titre d’un crétinise et d’une hypocrisie absolue : « comment le patriarcat sabote les relations hétérosexuelles »

Ainsi, pour son dernier opus, on la retrouve sur le minaret du merdia victimaire où elle a son rond de serviette, vivement encouragée à déblatérer un monceau d'effroyables conneries paradoxales sans une seule phrase sensée ! Et ça commence dès le début :  

 

« Avec ”Sorcière”, j’avais un peu adoptée cette posture de la féministe très sure d’elle, indépendante, qui n’a pas besoin des hommes, qui est une chose que j’assume et que je revendique complètement. Mais en même temps, j’avais aussi envie d’assumer honnêtement le désir d’amour en fait. Je crois que ce serait dommage de s’autocensurer. En tant que féministe, on a tendance à s’autocensurer sur la question de l’amour. Parce qu’il y a eu l’assignation des femmes au sentiment, et inversement, depuis la nuit des temps, et c’est compréhensible, mais il n’en demeure pas moins qu’on est des êtres humains qui ont des désirs, des besoins et parfois malheureusement avec des hommes. »

 

La meuf hétéro qui désire du phallus et qui s’entête à le dénigrer, le détester et le déconstruire, c’est du registre freudien.

Les symptômes de la victimisation sont connus pour l’inversion de la charge, ce qu’elle se permet allègrement jusqu’à se livrer aux mensonges, n’hésitant pas à plagier les idées et les arguments de ses opposants afin de les déformer et de se les réapproprier pour sa cause. C’est d’ailleurs là l’ensemble de ses obsessions et de son activité, et de manière générale, les procédés du néofeminisme totalement décomplexé récusant l’évidente réalité de se transformer en ce qu’il voudrait dénoncer :  

« Si on aime l’amour, il faut avoir le courage de se pencher lucidement sur ce poison. Ne pas hésiter, comme le héros de Matrix, à avaler la pilule de rouge de la lucidité plutôt que la bleue qui l’aurait laissé dans une heureuse ignorance ».

En somme, chez Hitler le juif est coupable de tout, chez les néofém via Cholet, Coffin… c’est l’homme !

 

Dès lors, les hommes déconstruits, réduits au niveau de serpillère, se repentent et se flagellent d’actes qu’ils n’ont pas commis dont ils se sentent comptable pensant faire montre d’intelligence et d’empathie afin de s’assurer les bonnes grâces et du sex-appeal avec leur moraline :

« On a massacré nos filles nos femmes nos sœurs et cela a laissé forcément des traces … on le ressent dans ces échanges d’ailleurs » P de Valette.

Sans même se rendre compte qu’ils s’avilissent eux-mêmes et la masculinité aux yeux des femmes hétéros qui n’ont plus que haine et jalousie pour ce qu’ils sont jusqu’à en devenir lesbienne par idéologie leur procurant pour seule envie celle de les dépouiller et les laisser crever sur le trottoir après leur avoir extorqué, par chance, d’une pension alimentaire.

<image.gif> <drame de ma vie.jpg>

<image.gif> <délivrez-vous du mâle.jpg>

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Frédéric Roucheray

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