Le français, la langue de Molière…et de Madame de Sévigné.

Oui, la question de l’écriture inclusive peut être débattue d’un point de vue linguistique, avec des avis divergents. La posture du maire d’extrême-droite de Chalon sur Saône est d’ordre idéologique, qui, comme pour les origines des personnes, est en croisade pour le français dit « de souche ».

J’espère que la gauche plurielle survivra au fantasme du « bon français ».

A suivre,

François,

De quoi nourrir le débat sur la langue française vivante :

L'entrée du mot "iel" dans le dictionnaire en ligne Le Robert nous amène à nous questionner.

Et aussi des éléments de réflexion dans

Et aussi : Lutte contre l’écriture inclusive : la nouvelle croisade de Gilles Platret

Désolé de le dire ici, mais par ce mail, le débat est lancé,
Française, français !! Faudra bien un jour que quelqu'un de gauche prenne le courage de rejeter cette écriture inclusive, illisible et lourde.

Finalement en inversant les choses on pourrait dire que notre grammaire française, en assimilant le masculin au neutre, rend les mâles insignifiants ?
Au lieu de dire que l'usage du masculin (en vérité du neutre) l'emporte pour le pluriel et que ce serait une continuité du patriarcat ?
mouais bof bof ...
Les articles féminins ou masculins n'ont absolument rien à voir avec le sexe : un tronc, un trou, une tige, un four, un tuyau, etc.  où est le sexe la dedans ?

Oui, il faut lutter contre certaines attitudes héritées du patriarcat qui persistent encore dans nos sociétés, mais le débat sur l'écriture inclusive est une connerie de bourgeois hors sol qui ont inventé un machin pourri pensant que ça changerait les mentalités alors qu'au final ça ne fait que donner des ailes aux nostalgiques du drap ensanglanté exposé après la nuit de noce.

En tous cas si on ne rejette pas illico cette écriture nulle, lourde, illisible, imposée, ce sera une bombe de plus à retardement pour diviser une gauche populaire déjà bien gangrénée et alourdie par une bourgeoisie qui au final, finit toujours par la trahir.

Tomboul