vers 2017 Lorsque l’on est à l’interface du monde, comme chaque artiste, mais
bien sûr aussi comme chaque citoyen, on ne manque pas de chercher toujours le
chemin le mieux bordé de poésie et le plus propice à l’invention du futur. L’histoire sociale et politique récente mène l’espace public,
c'est-à-dire nos espaces communs, vers des enjeux de pouvoirs et de
compétitions médiatiques internationales ; comme ces fonds d’écran des
news télévisées du monde entier, la ville devient la cour de récréation des
plus forts, le lieu de la dernière frappe et celui de la suivante… Nous, artistes des urbanités et des lieux publics, assistons au rapt
des espaces du commun par les multinationales, par les législateurs, par les aménageurs, par
les publicistes et par les guerriers. Aucune population n’a demandé tout çà, bien évidemment. Dans cette prise d’otage commerciale et politique, l’art perd ses
racines communautaires si difficiles à tresser et dont les arts de la rue sont
de bons artisans. Pour beaucoup d’entre nous, le Vichy ne pétille pas. Nous ne ferons pas
des arts de la rue dans un couloir humanitaire avec une demande
politico-culturelle de consensus mou et d’animations rigolardes. Par contre,
nous pouvons accompagner tous ceux qui se lèvent dans les villes et sur les
places car les besoins d’imaginaires sont énormes pour apprendre à voir sans déléguer, à penser sans dogme. Directeur Artistique Compagnie ilotopie 30 avenue Marx Dormoy 13 230 Port Saint Louis - France T: 0033 (0)4 42 48 40 04 De :
[mailto:
] De la part de
oui le bio n'est plus un état d'esprit c'est devenu un business très
lucratif ,qui emploi des immigrés sous payé ,mal traité , qui s'en fou de
l'état des sol ,il faut juste être dans un cahier des charges interprétable a
souhaits . De la chaire humaine bio a bas prix . Et bien la culture deviens pareil ,nous avons pourtant depuis des
années un exemple sous le nez ,Disney qui fait de la culture lucrative , qui a
une éthique de gestion du personnel a l'américaine et pourtant il sont en
France .Et ça marche ,c'est plein tout le temps . Donc c'est peut être ça que
la masse aime comme culture ? Et nous petite association déviante ,luttant
contre cette énorme machine capitalisme proposant de la culture hélititiste
adresser a une minorité de spectateur. Pour les pouvoirs public , Nous ne somme pas rentable ,Il est temps de
nous casser et pour nous casser c'est pas compliquer ,rendre l'administratif
ingérable pour des structure comme les nôtres ,nous obliger a rentrer dans des
boites de gestion qui coute cher, baiser les subvention, sécuriser la rue et
faire des centre ville playmobil (avec des gilets orange fluo,pour les snipers)
avec une culture familial festive et sans vague . Ce que j'appelle depuis des
année Disney rue. Et il y aura toujours des artistes pour animer cette culture
. C'est vrai je suis défaitiste ,mais depuis combien d'année acceptons nous ça
,cette machine qui nous dévore un peut plus chaque jour .Et en plus du
capitalisme maintenant y a la bonne vieille moral qui reviens en courant avec
les bonnes maladies religieuse intégriste qui foutent la merde depuis des
siècles dans le monde . Avec un gouvernement sois disant de gauche .Nous acceptons la
jungle de calais ,ou l'on traite des humains moins bien que des animaux ,on
laisse les flics frapper nos jeunes (n'oublions pas que les flic sont nos
employé ) ,on accepte des partis fasciste dans notre démocratie de merde,des
gens comme Trump Poutine Bachar Ergogan Sarkosi Le Pen et tous les
autres fumier qui gèrent le monde avec la peur . Peut être que le jour ou nous
n'aurons plus peur il se passera quelque chose de GRAND . Et nous gens de la
culture ,nous tous nous faisons bouffer lentement mais surement . Barth Le 21 oct. 2016 à 00:44, ART SONIC <
">
> a écrit : Quand la professionnalisation mêne à la destruction ! Une nouvelle réforme plutôt
une obligation vient de tomber et touche de plein fouet le milieu
associatif culturel.Elle pénalisera les petites structures et les mènera indirectement
à leur disparition. En effet, il sera interdit
pour toute association de pouvoir établir une feuille de paie; les seuls choix
possibles seront soit d’acheter un logiciel ( cher ) validé par Audiens,Urssaf
etc .. avec mises à jour payantes soit passer par une boite de prestation
spécialisée dans le domaine pour l’établissement des feuilles de paie (contrats
etc …..) Sachant que le prix du
logiciel, plus la formation sur l’outil a un coup non négligeable pour ces
structures; et que pour des raisons économiques que souvent la gestion est
faite bénévolement et de manière professionnel ! Il faut savoir que faire
établir cette prestation par un organisme varie de 15 à 30 euros
par feuille de paie. exemple: Sur un contrat de
vente en cession disons 300€ pour payer un duo au smic la structure ne
pourra pas déclarer deux personnes tout en considérant que les prix de ventes
sont de plus en plus bas. … La belle aubaine pour les
boites de prestation, comme çà devient obligatoire rien empêchera
d’augmenter les tarifs de gestion. Comme le font les boites de contrôle
technique pour les voitures. De nouvelles boites de gestion
sont déjà entrain de se monter c’est un peu la poule aux oeufs d’or. ( exemple
sur Lyon déjà des boites affichent des tarifs à 30 à 35€ / par paie.Le seule
solution serait peut-être la mutualisation…. où peut-être que les structures
professionnelles aient un rôle à jouer. Derrière cette réforme il y a
forcément une volonté de contrôler les intermittents c’était un peu trop beau le
retour à une partie de l’ancien régime ( beaucoup plus favorable) Ces divers situations
deviennent insupportables pour les petits lieux de diffusions, l’ administratif devient
de plus en plus complexe, les réglementations sur la sécurité, sur le
travail, les nuisances sonores entrainent de fait, la disparition de
lieux ou d’espaces de diffusion. Dans le secteur de la musique c’est une
véritable catastrophe, plus moyen de trouver des lieux pour jouer. Et comme d’habitude il ne
faudra pas compter sur la solidarité dans la profession bien au contraire …. Tout çà va finir par un
lieu par région labellisé, validé et financé par l’ état. Certains se
perfectionneront dans l’ art de sucer les sucettes à l’ anis et
d’autres dans l’ art de cuisiner les moules
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