…et que les gens qui les lisent tiennent leurs postes grâce aux créateurs ! Sans créateurs, point de festivals, sans festivals, pas de programmateurs, sans programmateurs, pas de dispositifs, … Bref, tout repose sur nous quoi qu'on en dise ! P
Le 20 oct. 2015 à 13:53, COMPAGNIE PROGÉNITURE a écrit : N’oublions pas, tout de même que ces dossiers aussi pointus soient-ils, concernent la plupart du temps de l’argent public ! Valérie
Cie. Progéniture (Maison sérieuse et de qualité depuis 1991) Festival Coulée Douce
Le 20 oct. 2015 à 12:12, Frédéric MICHELET <
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> a écrit : Arghhh les dossiers
Le problème est que l’on nous demande des dossiers de plus en plus épais, de plus en plus complexes, pour une oeuvre qui bien souvent est en construction Le problème est que l’on demande aux artistes d’employer le langage des liseurs de dossiers et non pas aux liseurs d’apprendre à nous lire j’ai vu bien trop souvent passer à Auteurs d’espaces, ou écrire pour la rue, des dossiers magnifiques qui n’ont pas donné leurs fruits et j’ai vu la réciproque, quelques pages « crachées » qui ont donné de magnifiques spectacles il n’y a pas de recette on voudrait nous faire croire qu’il y a en a une celle du dossier complet, épais, écrit dans les normes c’est le revers de l’institutionnalisation de notre secteur
dans les choix, il y a une part d’intuition artistique à prendre, sinon on ne fait qu’aider ceux qui ont déjà du succès et de la notoriété je ne crois vraiment pas que l’on peut réduire un projet à 30 pages A4 qualibré dans l’art il y a de la magie, une alchimie qui doit prendre et qui jamais ne sera réductible à un discours masteurisé…
il nous reste l’art de faire rêver un dossier écrit par l’artiste doit être ensorcelant ce ne doit pas être un devoir malheureusement…..
amitiés FRED
Le 18 oct. 2015 à 21:21, SOLOY <
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> a écrit :
Salut à touTEs,
En fait, j’aimerais comprendre comment vous vous en sortez sans dossier.
Je m’explique. Il y a 40 ans, il y avait 10 compagnies de rue, et encore... L’un disait, je vais faire un truc en rue, on lui faisait confiance (par « on », j’entends l’édile, le DAC, en un mot, le passeur). Un serrage de louche et c’était parti.
Il y a 20 ans, nous étions plus nombreux. La pratique du serrage de louche s’était perpétrée mais s’y était ajoutée celle des premiers dossiers, histoire pour le passeur de renouveler son cheptel, d’aller au-delà du cercle restreint de ses connaissances.
Aujourd’hui, nous sommes très nombreux. D’aucuns prennent leur retraite, tant parmi les artistes que parmi les gens de mairie. Les passeurs et programmateurs se sont renouvelés et il y a pléthore d’offres. Comment choisir? Parmi les artistes, certains se sont fait des gros noms, des noms royaux, des noms de luxe. Le passeur, même novice peut acheter la notoriété. Mais s’il n’a pas les budgets, ou s’il a des goûts d’ailleurs, il fait comment? Entre serrage de louche et dossier, qu’est-ce qui lui confère l’assurance de faire le bon choix? La grande gueule et la poignée de main de celui qui a serré bien des louches, ou l’investissement et le sérieux de celui qui a créé le dossier?
Le dossier semble le moyen le plus démocratique pour répartir les offres, et simultanément non, puisque seuls celui qui a bac+ est à même de les remplir, ce qui reviendrait à dire que celui qui n’a pas bac + n’a pas le droit d’être artiste. Bref, pas simple.
En fait, j’aimerais comprendre comment vous vous en sortez sans dossier.
Bien à vouTEs, Nicolas Soloy
PS: et à l’ère du dossier dématérialisé, sauver les forêts grâce au dossier de 2 pages, c’est un peu fumiste...
<Sans titre.png>
Les Anthropologues Arts de la rue et spectacle
Théâtre de la Noue 12 place Berthie Albrecht 93100 MONTREUIL 01 48 70 00 55
Le 18 oct. 2015 à 13:48, Frédéric Roucheray <
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> a écrit :
Bien le bonjour, De manière à alimenter l'échange, voici en pièce jointe une étude réalisée l'an dernier par l'ONDA sur les pratiques de production et diffusion. La problématique que décrit Pierre semble persistante et vouée à se raffermir. Cette difficulté touche l'ensemble des acteurs de terrain. Autant que pour élargir notre angle de vision, la lecture de cette étude peut contribuer à nous questionner et nous renforcer dans nos positions pour envisager l'évolution de nos pratiques.
De nouvelles solutions apparaissent en sortant du cadre. Ne nous laissons pas enfermer par le normatif.
Tout de bon
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