bon, sur les réseaux sociaux, cela s’appelle un trollOn peut le bloquer, le signaler
Mais la liste rue est non modérée. Petite conseil donné par Thierry Decoq de la liste rue « Si des messages t'énervent, fait comme moi: zappe les et ne garde que ceux qui t'intéressent. C'est juste une question d'entrainement ! »
Donc, je vous propose de l’ignorer, lui répondre est souvent alimenter une colère qu’il est sans doute le seul à savoir d’où elle vient vraiment (enfin j’espère pour lui)
Ce qu’il y a de beau dans les fêlés c’est qu’ils laissent passer la lumière disait Audiard (mais pas tout le temps en fait…)
Bonne route à tout le monde Virginie  Le sam. 20 août 2022 à 16:32, Vladimir SPOUTNIK <
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> a écrit :
Mais ferme donc ta grande gueule qui pue la merde !!
je ne te connais pas, Frédéric, mais s’il te plaît, arrête de venir gerber ton fiel par ici.
y en a qui quittent la liste rue, mais c’est toi qui devrais partir, tellement tes relents sont nauséabonds.
j’aime cette liste pour ses débats, mais toi, tu ne débats pas, tu déposes ta chiasse.
alors arrête de venir faire la leçon à Jacques, et aux autres, et fous nous la paix !!
bordel, tu es chargé de diff et de prod… si j’étais un artiste sous ta houlette, j’aurais honte et je partirais en courant.
on peut pas le dégager de la liste, lui ?
je ne te salue pas.
Franck Schuster
07 64 07 12 87
Cie Vladimir Spoutnik
envoyé de mon Spoutnik
Ho vielle carne égocentrique, il t’arrive quoi de t’excuser ?
T’as laissé tes couilles sur la table ou quoi ? La grande gueule historique, s’en vient à se coucher devant la moindre pleurniche néofem ?!? Ce monde part vraiment en quenouille ! Si c’est une nouvelle stratégie pour parler de toi, elle est complètement moisie.
Après la couffade que tu viens de sortir, t’es fini. Canceled !! N’envisage même pas de revenir. Tu peux aller te faire griot dans le désert. Dans 15 jours, ils viendront s’immiscer jusqu’au fond de ton slip, 30 ans en arrière. Autant te dire que t’as intérêt
à te souvenir où t’as rangé tes attestations de consentement. Le Théâtre à Vincennes, c’est tintin ! Mais même pas dans le public ! Il te reste que le trottoir et la Liste Rue (pour combien de temps encore… ?).
Mais pourquoi tu t’excuses ??? Ce qui aurait eu de la gueule c’est que tu viennes nous expliquer pourquoi ça te fait chier les solos de femmes. De toutes façons, ils s’en tamponnent aussi de tes spectacles. La seule chose qu’ils veulent c’est tuer le père.
Non mais regarde ce qu’ils ont fait de ta gauche !! D’un côté des hordes de harpies misandres et névrosées toutes plus courges les unes que les autres et de l’autre des vasectomistes dont l’espoir est encore de péter des culs en payant l’addition. Que des
fiottes lobotomisé.e.s ! Toutes et tous à désirer le stupre et le lucre sous couvert de puritanisme rien-pensant avec au choix la bouche en cœur ou la bouche d’égout. Des irresponsables, des crétins sans conscience ni connaissance qui ne voient en toi que
l’abject symbole du capitalisme. Ils sont déjà en train de réécrire ton œuvre sous l’angle déconstructiviste, manière de s’esclaffer en chœur : à mais c’est vrai, maintenant que tu le dis, j’y avais jamais pensé, le salaud !!
Tu vas faire quoi maintenant ? Leur chanter Le poète à toujours raison ? Vu que tu viens de t’excuser, tu vas te prendre une tarte sans crème et tu copieras cent fois : C’est LA poète qui a toujours raison ! Je ne suis qu’un allié né !
Allez ça suffit ! Arrête-moi ce cirque ! Tu te relèves, tu retires tes excuses et tu leur balances tout ce qu’ils ont envie d’entendre. Les pires cochonneries, toutes leurs vérités et les secrets de magicien.
Toi qui viens de te reconvertir dans le clown, tu reconnaîtras que l’occase est trop belle. T’as fait un cercle de la mort. Ils n’attendent que ça. Ils réclament les cascades. C’est maintenant qu’il faut que tu charges. Fais-leur les poches. Vide-leur le sac.
Ils se font chier de toutes façons. Ils viennent de réélire Macron. Tiens, par exemple, tu pourrais leur chanter
Femmes des années 80, en évitant les coups de pelles. Ne cherche surtout pas à les raisonner, que du sensationnalisme, des émotions, du sang et de la sueur, à ne plus savoir si c’est à rire ou à en pleurer. T’y glisses un peu de théâtre . Tu leur
parles de miss Simone et docteur de Beauvoir. Une mine ! Comment elle s’est fait virer de l’éducation nationale, les histoires de pédophilie avec Sartre. Ses correspondances avec son amant où elle écrit « j’aimerais être ta petite femme d’intérieur » pendant
qu’elle écrivait à tous « aucune femme ne devrait être autorisée à rester à la maison pour élever ses enfants ». Tu les saisis de stupeur. Outré.e.s à s’en décrocher la mâchoire ! Derrière ça, tu peux placer tout ce que tu veux. Tous les trucs les plus ignobles.
Tiens, raconte-leur la dernière fois où tu as emmené Hervée chez le taxidermiste. Oh pétard, je vois déjà leur tronche ! Et là tu mets le paquet, le savoir-faire, la qualité des outils, les matériaux… Tu vas finir sous une pluie de cailloux. Cohérent. Digne.
Droit dans tes bottes. En martyre. De mémoire de spectacles de rue, on n’aura jamais vu autant de crachat dans le chapeau. Ci-gît le plus grand sologinophobe que la terre n’ait jamais portée. Le IN assuré et tu pars en beauté. De toute façon personne n’en
ressortira vivant.
Je te propose un truc, tu fais le diable, moi l’avocat et j’irais nettoyer les tags sur ta tombe.
---
Frédéric Roucheray
Il est passé par ici
Franchement je me relis avec distance
Si je vous ai blessées, Mesdames, je m’en excuse car tel n’était pas le but.
Des solos, j’en vois j’en ai montés, et vous savez à l’Unité, nous avons reçu 235 compagnies, et souvent il y a des crashes- tests à la fin, et des solos aussi.
Alors on se parle librement, on fait des critiques, on essaye d’être constructif.
Il y a eu une époque vers 1990 j’avais écrit ; j’en peux plus des échassiers, oui il n’y avait plus que des échassiers partout, ça me fatiguait même si le groupe Malabar et Paillasson était carrément puissant
Maintenant on n’ose plus parler, c’est trop tendu. Dire sur les réseaux sociaux, j’ai fort peu apprécié la pastille X , c’est condamner la compagnie. On est terrorisés à l’idée de parler à des amis qu’on aime pour leur faire
des réserves. Alors tout le monde se complimente, un nuage de bienveillance envahit tous les réseaux.
j’ai une sorte de sentence qui me poursuit, elle est de Valère Novarina
“ ce qu’il ne faut pas dire c’est ce qu’il faut dire”
Tout le monde a peur d’écrire, la crainte de se faire canarder, comme si ce
territoire était miné.
C’est dommage, les conneries ça fait avancer la pensée.
On a écrit un bouquin avec Hervée avec nos petites théories et nous racontons que nous avons avancé grâce à des remarques fort désobligeantes
et qui nous ont fait très mal.
J’aime bien les polémiques, mais là cela ressemblait par instant à un peloton d’exécution
Le théâtre c’est avant tout un jeu.
Jacques Livchine
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