Il est possible de dénoncer les pratiques liberticides sans nier la réalité de la pandémie. C’est là toute la différence. Les pratiques liberticides ont commencé bien avant la crise sanitaire, même en France, et vous le savez bien dans les arts de la rue, ça n’a donc rien à voir avec la soit disant « invention » ou non d’un virus, qui malheureusement est bien réel sur toute la planète. Et oui, la crise sanitaire est un prétexte de plus pour mener une politique autoritaire, mais ce n’en est pas la cause. Chercher à nier la réalité de ce qui se passe au niveau sanitaire avec des pseudo-« philiosophies" qui prétendent dénoncer de vastes complots imaginaires n’est qu’une perte de temps qui nous empêche de trouver de vraies solutions urgentes, sur le terrain, pour avancer, construire et s’en sortir tous. Tous : Les malades comme les non-malades. Le vieux comme les jeunes. Les gens du spectacle comme les gens hors spectacles, etc…. Laissons les médecins, les soignants et les chercheurs faire leur boulot sur ce qui concerne la maladie et la manière de la traiter, faisons leur confiance, ils se donnent assez de mal comme ça. Et contentons nous de bosser à notre niveau, dans notre domaine, pour que les choses avancent et que nos pratiques soient respectées. Aux Matermittentes par exemple, on se bat depuis plusieurs mois pour faire entendre des solutions très simples d’aménagement de la réglementation pour que les intermittents en arrêt maladie ou en congé maternité ne se voient pas refuser l’indemnisation sous prétexte qu’ils n’ont pas assez travaillé en 2020. Y a du taf, je vous assure, concret, à faire, qui nous concerne. C’est pas les théoriciens ou scitentifiques complotistes qui viendront nous relever quand on sera tous par terre. Non, eux ils iront soutenir Marine le Pen et Eric Zemmour une fois que la crise sera passée. Donc laissons les dans leur bouillie morbide. Et ne nous trompons pas de cible, ni de combat. Amicalement, Amandine
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